Sur le terrain depuis plusieurs jours dans le cadre de la sensibilisation des jeunes pour l’enrôlement, le Réseau des jeunes pour l’avenir de la Côte d’Ivoire (Rejaci), entend jouer un rôle dans le processus électoral mais surtout pour l’avenir de la Côte d’Ivoire qui passe par les jeunes.
Ehui Félix, vous êtes le président du Réseau des jeunes pour l’avenir de la Côte d’Ivoire, (Rejaci). Pouvez-vous présenter brièvement votre réseau ?
Le Rejaci est un réseau de jeunes de toutes tendances qui se veut un creuset d’unité et de cohésion sociale. Notre Réseau veut jouer son rôle dans le développement durable de la nation ivoirienne. Créé il y a un an et depuis 3 mois, nous sommes sur le terrain
Pourquoi avez-vous créé ce réseau ?
Les jeunes veulent jouer un rôle majeur dans l’avenir de la Côte d’Ivoire parce que l’avenir, qu’on le dise tout net, c’est la jeunesse. Il est donc important et primordial pour les jeunes de Côte d’Ivoire de jouer un rôle majeur dans le destin de notre pays. Il s’agira, pour nous, dans la cohésion et l’unité, d’accompagner toutes les actions qui visent à tirer le pays vers le haut.
Quel est votre regard sur la jeunesse ivoirienne ?
On a longtemps taxé notre jeunesse d’irresponsable, de violente. Aujourd’hui, avec l’évolution des choses, nous devons balayer cette mauvaise image pour montrer aux yeux de l’opinion que la Côte d’Ivoire a une jeunesse qui se veut responsable et respectueuse des valeurs républicaines. Nous devons être au centre des prises des décisions. C’est pourquoi, le Réseau des jeunes pour l’avenir de la Côte d’Ivoire (Rejaci) que nous avons l’honneur de présider, veut jouer un rôle prépondérant dans le processus électoral. En sensibilisant les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales mais aussi et surtout porter la sensibilisation sur comment voter juste et bien. Nombreux sont les jeunes de 18 ans qui voteront pour la première fois, il faut aller vers ceux-là pour leur expliquer les enjeux d’un processus électoral. Parce qu’il sera question pour eux de choisir qui ils veulent pour les diriger. Pour ce choix, il faut savoir voter. C’est pourquoi, nous saluons le président de la République et le gouvernement ivoirien pour la prorogation de la date butoir pour l’enrôlement.
Quel type de président voulez-vous pour la Côte d’Ivoire ?
Nous jeunes, conscients que l’avenir d’un pays repose sur sa jeunesse, nous nous devons de choisir des dirigeants à même de nous garantir la paix, la stabilité et le développement. C’est pourquoi, dans l’union et la cohésion, nous voulons peser sur les décisions politiques afin qu’elles soient plus portées sur la jeunesse. Le choix de l’avenir de la jeunesse, c’est un président qui garantit la paix, la stabilité et le développement. Développement où la jeunesse a du travail, où la jeunesse peut elle-même, se prendre en charge.
Mis à part le processus électoral, quelles autres actions menez-vous ?
Nous avons des actions sociales aussi que nous menons çà et là dans la discrétion et déjà, le vendredi, nous avons une action en faveur des jeunes d’Adiaké et du Sanwi que nous allons sensibiliser sur l’enrôlement à travers un meeting suivi d’un concert géant. Mais à côté de cela, nous allons assister nos parents musulmans qui observent le mois de Ramadan, mois de jeûne, donc nous faisons un don à la mosquée d’Adiaké et ensuite à l’orphelinat que nous allons visiter en compagnie d’un ami du Réseau qui est Kader Keita avec qui nous allons faire un geste de portée sociale.
Interview réalisée par Jean Prisca
Ehui Félix, vous êtes le président du Réseau des jeunes pour l’avenir de la Côte d’Ivoire, (Rejaci). Pouvez-vous présenter brièvement votre réseau ?
Le Rejaci est un réseau de jeunes de toutes tendances qui se veut un creuset d’unité et de cohésion sociale. Notre Réseau veut jouer son rôle dans le développement durable de la nation ivoirienne. Créé il y a un an et depuis 3 mois, nous sommes sur le terrain
Pourquoi avez-vous créé ce réseau ?
Les jeunes veulent jouer un rôle majeur dans l’avenir de la Côte d’Ivoire parce que l’avenir, qu’on le dise tout net, c’est la jeunesse. Il est donc important et primordial pour les jeunes de Côte d’Ivoire de jouer un rôle majeur dans le destin de notre pays. Il s’agira, pour nous, dans la cohésion et l’unité, d’accompagner toutes les actions qui visent à tirer le pays vers le haut.
Quel est votre regard sur la jeunesse ivoirienne ?
On a longtemps taxé notre jeunesse d’irresponsable, de violente. Aujourd’hui, avec l’évolution des choses, nous devons balayer cette mauvaise image pour montrer aux yeux de l’opinion que la Côte d’Ivoire a une jeunesse qui se veut responsable et respectueuse des valeurs républicaines. Nous devons être au centre des prises des décisions. C’est pourquoi, le Réseau des jeunes pour l’avenir de la Côte d’Ivoire (Rejaci) que nous avons l’honneur de présider, veut jouer un rôle prépondérant dans le processus électoral. En sensibilisant les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales mais aussi et surtout porter la sensibilisation sur comment voter juste et bien. Nombreux sont les jeunes de 18 ans qui voteront pour la première fois, il faut aller vers ceux-là pour leur expliquer les enjeux d’un processus électoral. Parce qu’il sera question pour eux de choisir qui ils veulent pour les diriger. Pour ce choix, il faut savoir voter. C’est pourquoi, nous saluons le président de la République et le gouvernement ivoirien pour la prorogation de la date butoir pour l’enrôlement.
Quel type de président voulez-vous pour la Côte d’Ivoire ?
Nous jeunes, conscients que l’avenir d’un pays repose sur sa jeunesse, nous nous devons de choisir des dirigeants à même de nous garantir la paix, la stabilité et le développement. C’est pourquoi, dans l’union et la cohésion, nous voulons peser sur les décisions politiques afin qu’elles soient plus portées sur la jeunesse. Le choix de l’avenir de la jeunesse, c’est un président qui garantit la paix, la stabilité et le développement. Développement où la jeunesse a du travail, où la jeunesse peut elle-même, se prendre en charge.
Mis à part le processus électoral, quelles autres actions menez-vous ?
Nous avons des actions sociales aussi que nous menons çà et là dans la discrétion et déjà, le vendredi, nous avons une action en faveur des jeunes d’Adiaké et du Sanwi que nous allons sensibiliser sur l’enrôlement à travers un meeting suivi d’un concert géant. Mais à côté de cela, nous allons assister nos parents musulmans qui observent le mois de Ramadan, mois de jeûne, donc nous faisons un don à la mosquée d’Adiaké et ensuite à l’orphelinat que nous allons visiter en compagnie d’un ami du Réseau qui est Kader Keita avec qui nous allons faire un geste de portée sociale.
Interview réalisée par Jean Prisca