Le gouvernement ivoirien a rassuré jeudi les Ivoiriens de ce que les deux sites de grippe aviaire sont "isolés" et que la situation est "maîtrisée".
"La situation est sous contrôle. Il n'y a que deux sites à Bouaké (centre) et ces sites ont été isolés de sorte à circonscrire la maladie là et à la traiter", a déclaré le ministre des Ressources animales et halieutiques Kobenan Kouassi Adjoumani.
"En tout état de cause, le gouvernement est en train de mettre en place des systèmes qui luttent efficacement contre la maladie. Les partenaires techniques et financiers veulent nous accompagner dans ce combat de lutte contre la maladie", a jouté le ministre.
Aucun cas de mortalité massive n'a été rapporté dans les élevages de volailles modernes à ce jour.
Les soupçons qui concernaient une basse-cour à Bouaké ont été confirmés par un laboratoire à Padoue ( Italie) où des prélèvements ont été transmis.
Les résultats de ce laboratoire ont confirmé, le 11 juin 2015, la détection du virus de type A/H5N1 responsable de la grippe aviaire hautement pathogène.
Lors d'un récent conseil des ministres, le gouvernement a interdit mercredi toute importation, commercialisation et distribution d'oiseaux vivants, de viandes de volaille, de poussins d'un jour, d'oeufs à couver et d'autres ovo- produits en provenance du Burkina-Faso où la présence de la grippe aviaire a été confirmée le 1er avril mais également du Niger.
Le gouvernement a mis en place en "urgence", à hauteur de 245 millions FCFA (490.000 USD), un plan d'action en vue de circonscrire la maladie et de lutter efficacement contre sa propagation sur le territoire national.
En 2006, la découverte en Côte d'Ivoire de deux cas de grippe aviaire avait fait perdre près de 20 millions USD aux producteurs modernes et traditionnels de volaille en raison de la baisse de consommation bien qu'aucun cas humain n'avait été rapporté.
Selon les autorités , les expériences acquises depuis 2006 permettent au gouvernement de faire face à la situation avec efficacité.
Celles-ci ont pris des dispositions "immédiates" telles que la réactivation du comité de lutte contre la grippe aviaire et le renforcement de la surveillance des frontières et des marchés de volailles.
"La situation est sous contrôle. Il n'y a que deux sites à Bouaké (centre) et ces sites ont été isolés de sorte à circonscrire la maladie là et à la traiter", a déclaré le ministre des Ressources animales et halieutiques Kobenan Kouassi Adjoumani.
"En tout état de cause, le gouvernement est en train de mettre en place des systèmes qui luttent efficacement contre la maladie. Les partenaires techniques et financiers veulent nous accompagner dans ce combat de lutte contre la maladie", a jouté le ministre.
Aucun cas de mortalité massive n'a été rapporté dans les élevages de volailles modernes à ce jour.
Les soupçons qui concernaient une basse-cour à Bouaké ont été confirmés par un laboratoire à Padoue ( Italie) où des prélèvements ont été transmis.
Les résultats de ce laboratoire ont confirmé, le 11 juin 2015, la détection du virus de type A/H5N1 responsable de la grippe aviaire hautement pathogène.
Lors d'un récent conseil des ministres, le gouvernement a interdit mercredi toute importation, commercialisation et distribution d'oiseaux vivants, de viandes de volaille, de poussins d'un jour, d'oeufs à couver et d'autres ovo- produits en provenance du Burkina-Faso où la présence de la grippe aviaire a été confirmée le 1er avril mais également du Niger.
Le gouvernement a mis en place en "urgence", à hauteur de 245 millions FCFA (490.000 USD), un plan d'action en vue de circonscrire la maladie et de lutter efficacement contre sa propagation sur le territoire national.
En 2006, la découverte en Côte d'Ivoire de deux cas de grippe aviaire avait fait perdre près de 20 millions USD aux producteurs modernes et traditionnels de volaille en raison de la baisse de consommation bien qu'aucun cas humain n'avait été rapporté.
Selon les autorités , les expériences acquises depuis 2006 permettent au gouvernement de faire face à la situation avec efficacité.
Celles-ci ont pris des dispositions "immédiates" telles que la réactivation du comité de lutte contre la grippe aviaire et le renforcement de la surveillance des frontières et des marchés de volailles.