Abidjan - Le gouvernement ivoirien annonce qu’il passe à la phase de répression de la détention illicite d’arme, après la fin de mission de l’Autorité pour le désarmement et la réintégration (ADDR) le 30 juin.
Désormais, "tout individu en tenue ou non, armé de façon illicite, s’exposera à des poursuites judiciaires", indique un communiqué du ministère de l’Intérieur et de Sécurité, dont copie a été transmise à l’AIP.
"Par conséquent, le recours à des personnes en armes non autorisée s pour des missions de surveillance de commerces, d’édifices, de biens, d’espaces publics ou privés ou pour des services quelconques est désormais interdit", prévient le document, estimant que "la fin du processus de désarmement, de démobilisation et de réintégration des Ex-combattants participe de la réforme de l’armée et confirme le retour à la normalité".
Quelque 55.000 ex-combattants ont été réintégrés en Côte d’Ivoire durant l’opération de DDR, ainsi que près de 40.000 collectées.
tm
Désormais, "tout individu en tenue ou non, armé de façon illicite, s’exposera à des poursuites judiciaires", indique un communiqué du ministère de l’Intérieur et de Sécurité, dont copie a été transmise à l’AIP.
"Par conséquent, le recours à des personnes en armes non autorisée s pour des missions de surveillance de commerces, d’édifices, de biens, d’espaces publics ou privés ou pour des services quelconques est désormais interdit", prévient le document, estimant que "la fin du processus de désarmement, de démobilisation et de réintégration des Ex-combattants participe de la réforme de l’armée et confirme le retour à la normalité".
Quelque 55.000 ex-combattants ont été réintégrés en Côte d’Ivoire durant l’opération de DDR, ainsi que près de 40.000 collectées.
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