Abidjan - Le parlement français a approuvé mercredi l’accord conclu entre Athènes et ses créanciers par 412 voix contre 69 à l’assemblée nationale et 260 voix contre 23 au sénat pour ouvrir des négociations sur un nouveau plan d’aide à la Grèce.
Ce geste symbolique a été voulu par le gouvernement pour que la France continue de jouer le rôle de sauveur de la Grèce endossé depuis le début de la crise par le président français, François Hollande, face aux pays qui envisageaient une sortie de la Grèce de la zone euro.
Le vote des députés et sénateurs français sur le compromis conclu lundi à l'issue de tractations dramatiques n'était , en effet, pas obligatoire.
"L'Europe a su surmonter une crise qui aurait pu lui être fatale", a dit Manuel Valls à la tribune de l'Assemblée. "Abandonner la Grèce, c'est nous abandonner nous-mêmes", a-t-il soutenu.
(AIP)
sdaf/akn/kam
Ce geste symbolique a été voulu par le gouvernement pour que la France continue de jouer le rôle de sauveur de la Grèce endossé depuis le début de la crise par le président français, François Hollande, face aux pays qui envisageaient une sortie de la Grèce de la zone euro.
Le vote des députés et sénateurs français sur le compromis conclu lundi à l'issue de tractations dramatiques n'était , en effet, pas obligatoire.
"L'Europe a su surmonter une crise qui aurait pu lui être fatale", a dit Manuel Valls à la tribune de l'Assemblée. "Abandonner la Grèce, c'est nous abandonner nous-mêmes", a-t-il soutenu.
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