Le procès des officiers pro-Gbagbo, accusés d'avoir commis des exactions durant la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d'Ivoire, a été renvoyé au lundi 27 juillet en raison de l'absence de l'avocat de l'un des principaux prévenus.
Le défenseur du commandant Anselme Séka Yapo, ancien chef de la sécurité rapprochée de l’ex-Première dame ivoirienne Simone Gbagbo, poursuivi pour « meurtre », n’était pas présent devant le tribunal mardi 21 juillet, forçant ainsi Tahirou Dembélé, le président du tribunal, à prononcer un nouveau report.
Le procès, ouvert le 9 juin dernier, avait déjà été reporté une première fois à la demande des avocats de la défense qui réclamaient des « preuves » ou le « cas échéant », « l’exhumation du corps d’une... suite de l'article sur Jeune Afrique
Le défenseur du commandant Anselme Séka Yapo, ancien chef de la sécurité rapprochée de l’ex-Première dame ivoirienne Simone Gbagbo, poursuivi pour « meurtre », n’était pas présent devant le tribunal mardi 21 juillet, forçant ainsi Tahirou Dembélé, le président du tribunal, à prononcer un nouveau report.
Le procès, ouvert le 9 juin dernier, avait déjà été reporté une première fois à la demande des avocats de la défense qui réclamaient des « preuves » ou le « cas échéant », « l’exhumation du corps d’une... suite de l'article sur Jeune Afrique