Abidjan - Le partenariat entre la justice française et ivoirienne a contribué, entre autres à l’amélioration des conditions de recrutement "objectif et efficace des magistrats et autres personnels judiciaires" ivoiriens, a souligné, mardi, à Abidjan, le directeur général de l’Institut national de formation judiciaire (INFJ), Kouassi Brou Bertin.
M. Kouassi s’exprimait, mardi, à la cérémonie de clôture des projets de renforcement de capacités des acteurs de la justice ivoirienne, en cours depuis trois ans, et financés par l’Union européenne(UE). Y étaient présents des représentants du ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques et du système judiciaire français.
Le directeur de l’Ecole nationale d’administration pénitentiaire de France, Phi lippe Potier, a pour sa part indiqué que cette collaboration a permis la création en Côte d’Ivoire d’une "équipe pédagogique permanente" composée de 20 formateurs qui ont bénéficié de renforcement de capacité.
Ce partenariat a aussi montré que les réseaux pénitentiaires internationaux peuvent être mobilisés pour améliorer les conditions de travail des personnels pénitentiaires et les conditions de détention, a-t-il ajouté.
Dans le cadre du programme d’appui à la réforme et à la modernisation du système judiciaire et pénitentiaire (PARMSJP), Justice coopération internationale (JCI), l’Ecole nationale de magistrature (ENM) et l’Ecole nationale de l’administration pénitentiaire (ENAP) de France ont collaboré avec l’Instit ut national de formation judiciaire (INFJ) et la Direction de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse(DPJEJ) de Côte d’Ivoire.
Quant à la directrice de la DPJEP, Koffi Marguerite, elle a souligné que cette coopération a permis à son institution de se restructurer et de s’organiser.
"Aujourd’hui toutes les juridictions du pays et nous avons des points focaux pour les autres ministères qui interviennent d’une manière ou d’une autre dans la prise en charge des mineurs (…), les magistrats pour mineurs ont fait des éducateurs leurs alliés", fait-elle savoir.
amak/ask
M. Kouassi s’exprimait, mardi, à la cérémonie de clôture des projets de renforcement de capacités des acteurs de la justice ivoirienne, en cours depuis trois ans, et financés par l’Union européenne(UE). Y étaient présents des représentants du ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques et du système judiciaire français.
Le directeur de l’Ecole nationale d’administration pénitentiaire de France, Phi lippe Potier, a pour sa part indiqué que cette collaboration a permis la création en Côte d’Ivoire d’une "équipe pédagogique permanente" composée de 20 formateurs qui ont bénéficié de renforcement de capacité.
Ce partenariat a aussi montré que les réseaux pénitentiaires internationaux peuvent être mobilisés pour améliorer les conditions de travail des personnels pénitentiaires et les conditions de détention, a-t-il ajouté.
Dans le cadre du programme d’appui à la réforme et à la modernisation du système judiciaire et pénitentiaire (PARMSJP), Justice coopération internationale (JCI), l’Ecole nationale de magistrature (ENM) et l’Ecole nationale de l’administration pénitentiaire (ENAP) de France ont collaboré avec l’Instit ut national de formation judiciaire (INFJ) et la Direction de la protection judiciaire de l’enfance et de la jeunesse(DPJEJ) de Côte d’Ivoire.
Quant à la directrice de la DPJEP, Koffi Marguerite, elle a souligné que cette coopération a permis à son institution de se restructurer et de s’organiser.
"Aujourd’hui toutes les juridictions du pays et nous avons des points focaux pour les autres ministères qui interviennent d’une manière ou d’une autre dans la prise en charge des mineurs (…), les magistrats pour mineurs ont fait des éducateurs leurs alliés", fait-elle savoir.
amak/ask