La Haute Autorité pour la Bonne gouvernance (HABG), en collaboration avec l’Office des Nations-unies contre la drogue et le crime (ONUDC), a organisé, le 23 juillet, à Abidjan-Cocody, un atelier relatif à l’examen de la Convention des Nations-unies contre la corruption.
Cette rencontre avait pour but de préparer la visite pays des représentants de l’ONUDC en septembre prochain durant trois jours. Cet atelier, initié à l’intention des experts nationaux et des représentants des structures nationales impliquées dans la prévention de la corruption, vise à informer les différentes parties au niveau national du déroulement de l’examen de la Côte d’Ivoire et les amener à s’approprier le mécanisme d’examen de l’application de la Convention. La désignation d’un point focal et d’experts gouvernementaux, la réponse à un questionnaire d’évaluation (liste de contrôle) sont, entre autres, les obligations mises à la charge des Etats parties par ledit mécanisme.
La Côte d’Ivoire, après avoir désigné son point focal, notamment Mme Francine Aka Anghui, membre du Conseil de la HABG, et des experts gouvernementaux, a transmis ses réponses au questionnaire d’évaluation au Secrétariat de l’ONUDC et est désormais en attente de la visite pays. Laquelle visite qui permettra aux experts venus de l’Azerbaïdjan et de la République démocratique du Congo, pays tirés au sort par l’ONUDC, de s’enquérir de l’effectivité des réponses apportées audit questionnaire.
Au nom du secrétaire général de la HABG, M. N’Drin Allou David, membre du Conseil, a « remercié les participants » qui ont pris connaissance de ladite Convention et de son mécanisme, des dispositions législatives et réglementaires, et du rapport d’auto-évaluation du pays.
Certain que « la corruption met à mal la gouvernance et retarde le développement du pays », M N’Drin a indiqué que « la Côte d’Ivoire doit nécessairement faire de la lutte contre la corruption son cheval de bataille ».
Expert de l’ONUDC, Mme Jennifer Sarvary-Bradford a présenté cette Convention et son mécanisme et révélé qu’ « à ce jour seulement 36 des Etats partie ont publié leur rapport complet sur le site de l’IRG ».
La Convention de l’ONU contre la corruption, appelée également Convention de Mérida, adoptée, le 31 octobre 2003 à New York, par l’Assemblée générale de l’ONU et ratifiée, à ce jour, par 176 des 193 Etats membres de l’ONU, dont la Côte d’Ivoire le 25 octobre 2012, a pour objet, entre autres, de promouvoir et renforcer les mesures visant à prévenir et combattre la corruption de manière plus efficace, faciliter et appuyer la coopération internationale et l’assistance technique, y compris le recouvrement des avoirs.
La réussite de cette visite pays exprimera le niveau d’engagement de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre la corruption et pourrait améliorer son rang au classement des pays les moins corrompus. Du 146è rang 2010, le pays se situe au 115è rang en 2014, selon les classements de l’ONG Transparency international.
Cette rencontre avait pour but de préparer la visite pays des représentants de l’ONUDC en septembre prochain durant trois jours. Cet atelier, initié à l’intention des experts nationaux et des représentants des structures nationales impliquées dans la prévention de la corruption, vise à informer les différentes parties au niveau national du déroulement de l’examen de la Côte d’Ivoire et les amener à s’approprier le mécanisme d’examen de l’application de la Convention. La désignation d’un point focal et d’experts gouvernementaux, la réponse à un questionnaire d’évaluation (liste de contrôle) sont, entre autres, les obligations mises à la charge des Etats parties par ledit mécanisme.
La Côte d’Ivoire, après avoir désigné son point focal, notamment Mme Francine Aka Anghui, membre du Conseil de la HABG, et des experts gouvernementaux, a transmis ses réponses au questionnaire d’évaluation au Secrétariat de l’ONUDC et est désormais en attente de la visite pays. Laquelle visite qui permettra aux experts venus de l’Azerbaïdjan et de la République démocratique du Congo, pays tirés au sort par l’ONUDC, de s’enquérir de l’effectivité des réponses apportées audit questionnaire.
Au nom du secrétaire général de la HABG, M. N’Drin Allou David, membre du Conseil, a « remercié les participants » qui ont pris connaissance de ladite Convention et de son mécanisme, des dispositions législatives et réglementaires, et du rapport d’auto-évaluation du pays.
Certain que « la corruption met à mal la gouvernance et retarde le développement du pays », M N’Drin a indiqué que « la Côte d’Ivoire doit nécessairement faire de la lutte contre la corruption son cheval de bataille ».
Expert de l’ONUDC, Mme Jennifer Sarvary-Bradford a présenté cette Convention et son mécanisme et révélé qu’ « à ce jour seulement 36 des Etats partie ont publié leur rapport complet sur le site de l’IRG ».
La Convention de l’ONU contre la corruption, appelée également Convention de Mérida, adoptée, le 31 octobre 2003 à New York, par l’Assemblée générale de l’ONU et ratifiée, à ce jour, par 176 des 193 Etats membres de l’ONU, dont la Côte d’Ivoire le 25 octobre 2012, a pour objet, entre autres, de promouvoir et renforcer les mesures visant à prévenir et combattre la corruption de manière plus efficace, faciliter et appuyer la coopération internationale et l’assistance technique, y compris le recouvrement des avoirs.
La réussite de cette visite pays exprimera le niveau d’engagement de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre la corruption et pourrait améliorer son rang au classement des pays les moins corrompus. Du 146è rang 2010, le pays se situe au 115è rang en 2014, selon les classements de l’ONG Transparency international.