ABIDJAN -- Les agents du ministère ivoirien du Commerce se sont mis en grève lundi en vue d’obtenir de "meilleures conditions de vie et de travail", a constaté Xinhua sur place à Abidjan.
Le Syndicat national des agents du ministère du Commerce de Côte d’Ivoire (Synamic-CI) assure que l’arrêt de travail, qui court jusqu’à mercredi, a été "largement suivi" dans plusieurs directions du ministère à Abidjan et dans le reste du pays. A en croire le secrétaire général du Synamic-CI, Patrice Toto, 24 grévistes ont été interpellés par la police.
Le syndicat réclame de "meilleures conditions de vie et de travail" et avertit que le mouvement sera "illimité" si ses revendications ne sont pas satisfaites. Celles-ci portent sur le paiement "immédiat" d’indemnités et d’avantages spécifiques, la signature "urgente" d’un projet de carrière interne au ministère et l’affectation des agents sans poste de travail.
En octobre dernier, le syndicat avait appelé à une grève pour les mêmes motifs. Elle avait été suspendue au bout de deux jours après la tenue de négociations avec la tutelle. Le Synamic-CI justifie ce nouvel arrêt de travail par le non-respect du protocole d’accord signé à l’époque et le "mépris" affiché par la tutelle.
Le Syndicat national des agents du ministère du Commerce de Côte d’Ivoire (Synamic-CI) assure que l’arrêt de travail, qui court jusqu’à mercredi, a été "largement suivi" dans plusieurs directions du ministère à Abidjan et dans le reste du pays. A en croire le secrétaire général du Synamic-CI, Patrice Toto, 24 grévistes ont été interpellés par la police.
Le syndicat réclame de "meilleures conditions de vie et de travail" et avertit que le mouvement sera "illimité" si ses revendications ne sont pas satisfaites. Celles-ci portent sur le paiement "immédiat" d’indemnités et d’avantages spécifiques, la signature "urgente" d’un projet de carrière interne au ministère et l’affectation des agents sans poste de travail.
En octobre dernier, le syndicat avait appelé à une grève pour les mêmes motifs. Elle avait été suspendue au bout de deux jours après la tenue de négociations avec la tutelle. Le Synamic-CI justifie ce nouvel arrêt de travail par le non-respect du protocole d’accord signé à l’époque et le "mépris" affiché par la tutelle.