Un atelier national sur le développement du commerce des bois tropicaux et produits dérivés et de leur valorisation industrielle dans un cadre intra-Africain s’est ouvert, le jeudi 30 juillet 2015 à Abidjan. Cet atelier qui est organisé par l’OIBT (Organisation internationale des bois tropicaux), a pour objet d’éliminer les principales contraintes recensées qui entravent l’expansion de la transformation plus poussée des produits bois tropicaux à valeur ajoutée et le développement du commerce entre tous les pays africains.
Cet atelier abrité par la Côte d’Ivoire fait partie d’un ensemble de trois pays africains sélectionnés que sont le Cameroun et le Congo-Brazzaville, afin de mener la réflexion pour la création d’un marché intra africain du bois. Ce sont environ une cinquantaine d’experts nationaux, issus des secteurs privés et publics de tous les domaines d’activité liés à l’exploitation du bois et du commerce national et international qui ont pris part à cet atelier. Le colonel Adingra Marie-Chantal, point focal OIBT Côte d’ivoire, a indiqué dans son intervention que cet atelier vient à propos pour permettre à l’industrie africaine du bois de booster sa compétitivité et de réduire ses importations vers les marchés européens souvent à des coûts très onéreux qui avoisinent un peu plus de 4 milliards de dollars par an (2000 milliards de FCFA). C’est pourquoi, le Colonel Soro Doplé, Directeur de cabinet, représentant le ministre des Eaux et Forêts, à l’ouverture des travaux, signifiera que les attentes de la Côte d’Ivoire pour le développement d’un commerce intra africain sont énormes. Selon lui, il s’agira d’ouvrir les débats sur les problèmes relatifs aux contraintes de la transformation plus poussée du bois, du commerce des bois et des produits dérivés, d’en évaluer les impacts et les potentialités sur l’économie. Cela passe, dira- t-il, par l’identification et la priorisation des besoins des associations existantes et ainsi de proposer des solutions qui entravent l’expansion de la transformation industrielle plus poussée des bois en produits à valeur ajoutée, afin de développer un commerce entre pays africains. Pour le représentant du ministre, il s’agit là de l’avenir de toute la filière bois et principalement de notre pays, la Côte d’ivoire. Durant les deux jours, les experts nationaux évalueront toutes les contraintes liées à l’exploitation, à la transformation industrielle et à la commercialisation du bois afin de proposer des solutions qui permettront aux pays africains de développer ce marché. Cet atelier de deux jours organisé par OIBT, grâce à un financement du gouvernement Japonais, va passer au peigne fin les questions liées à une transformation industrielle plus poussée des bois tropicaux et de leurs produits dérivés ainsi que de leur valorisation pour une meilleure compétitivité sur le marché africain.
Olivier Guédé
Cet atelier abrité par la Côte d’Ivoire fait partie d’un ensemble de trois pays africains sélectionnés que sont le Cameroun et le Congo-Brazzaville, afin de mener la réflexion pour la création d’un marché intra africain du bois. Ce sont environ une cinquantaine d’experts nationaux, issus des secteurs privés et publics de tous les domaines d’activité liés à l’exploitation du bois et du commerce national et international qui ont pris part à cet atelier. Le colonel Adingra Marie-Chantal, point focal OIBT Côte d’ivoire, a indiqué dans son intervention que cet atelier vient à propos pour permettre à l’industrie africaine du bois de booster sa compétitivité et de réduire ses importations vers les marchés européens souvent à des coûts très onéreux qui avoisinent un peu plus de 4 milliards de dollars par an (2000 milliards de FCFA). C’est pourquoi, le Colonel Soro Doplé, Directeur de cabinet, représentant le ministre des Eaux et Forêts, à l’ouverture des travaux, signifiera que les attentes de la Côte d’Ivoire pour le développement d’un commerce intra africain sont énormes. Selon lui, il s’agira d’ouvrir les débats sur les problèmes relatifs aux contraintes de la transformation plus poussée du bois, du commerce des bois et des produits dérivés, d’en évaluer les impacts et les potentialités sur l’économie. Cela passe, dira- t-il, par l’identification et la priorisation des besoins des associations existantes et ainsi de proposer des solutions qui entravent l’expansion de la transformation industrielle plus poussée des bois en produits à valeur ajoutée, afin de développer un commerce entre pays africains. Pour le représentant du ministre, il s’agit là de l’avenir de toute la filière bois et principalement de notre pays, la Côte d’ivoire. Durant les deux jours, les experts nationaux évalueront toutes les contraintes liées à l’exploitation, à la transformation industrielle et à la commercialisation du bois afin de proposer des solutions qui permettront aux pays africains de développer ce marché. Cet atelier de deux jours organisé par OIBT, grâce à un financement du gouvernement Japonais, va passer au peigne fin les questions liées à une transformation industrielle plus poussée des bois tropicaux et de leurs produits dérivés ainsi que de leur valorisation pour une meilleure compétitivité sur le marché africain.
Olivier Guédé
