Alors que ses bénéfices ont chuté de 94 % en trois ans, le groupe ivoirien se rapproche encore davantage de Wilmar, numéro un mondial de l’huile de palme, afin de doper ses activités oléagineuses.
Faire reposer ses activités sur plusieurs produits agricoles afin de stabiliser revenus et marges : voilà l’orientation stratégique prise par Sifca il y a une dizaine d’années. Mais aujourd’hui, le géant agro-industriel ivoirien se retrouve dans l’impasse. Depuis début 2011, le prix du caoutchouc a été divisé par trois et celui de l’huile de palme par deux, entraînant un recul de 13,1 % des revenus en trois ans et surtout un effondrement des profits, passés de 101 milliards de F CFA (près de 154 millions d’euros) en 2011 – un record – à 6 milliards en... suite de l'article sur Jeune Afrique
Faire reposer ses activités sur plusieurs produits agricoles afin de stabiliser revenus et marges : voilà l’orientation stratégique prise par Sifca il y a une dizaine d’années. Mais aujourd’hui, le géant agro-industriel ivoirien se retrouve dans l’impasse. Depuis début 2011, le prix du caoutchouc a été divisé par trois et celui de l’huile de palme par deux, entraînant un recul de 13,1 % des revenus en trois ans et surtout un effondrement des profits, passés de 101 milliards de F CFA (près de 154 millions d’euros) en 2011 – un record – à 6 milliards en... suite de l'article sur Jeune Afrique