Bouaké - Huit innovations ont été validées, mercredi à Bouaké (Centre-Nord), par les acteurs de la filière cotonnière, en vue d’accroitre la productivité à l’hectare de cette spéculation, dont la Côte d’Ivoire est le 3ème producteur en Afrique au Sud du Sahara, derrière le Burkina Faso et le Mali.
Au terme d'un atelier de trois jours ouvert lundi, au siège de la Compagnie ivoirienne de développement textile (CIDT) à Bouaké, sur la validation du cahier de charges du conseil agricole dans la filière coton au titre de la campagne 2015-2016, plusieurs acteurs de cette filière, ont adopté des innovations en vue de relever le niveau de production du coton.
Parmi ces nouveautés figurent entre autres, la création de «champs écoles» pour contribuer à la formation technique des producteurs, l'application du facteur N-NH4 pour l'amélioration de la fertilité, l'utilisation de la fumure organique, le traitement sur seuil et un suivi-évaluation renforcé…
« Nous voulons faire la promotion de l'étude des sols par département et pouvoir conseiller des variétés d'engrais que nous pouvons conseiller aux différentes sociétés de productions dans leurs zones » a dévoilé le président de l'Intercoton, Lacina Tuo, faisant allusion au facteur N-NH4 qui a été introduit dans le cahier de charges 2015-2016 du conseil agricole.
Dressant ensuite le bilan de l'atelier, il a affirmé que la mise en œuvre des recommandations issues de cette session, permettra à termes de remédier à la baisse de la productivité à l'hectare, constatée ces dernières années dans le pays.
A la fin de la campagne cotonnière 2013-2014, la Côte d'Ivoire a produit 1,133 tonne à l'hectare contre 1,70 tonne attendue. Pour la campagne 2013-2014 la Côte d'Ivoire, a produit 400 000 tonnes de Coton. En 2014-2015 la production attendue est de 450 000 tonnes.
CK/ls/APA
Au terme d'un atelier de trois jours ouvert lundi, au siège de la Compagnie ivoirienne de développement textile (CIDT) à Bouaké, sur la validation du cahier de charges du conseil agricole dans la filière coton au titre de la campagne 2015-2016, plusieurs acteurs de cette filière, ont adopté des innovations en vue de relever le niveau de production du coton.
Parmi ces nouveautés figurent entre autres, la création de «champs écoles» pour contribuer à la formation technique des producteurs, l'application du facteur N-NH4 pour l'amélioration de la fertilité, l'utilisation de la fumure organique, le traitement sur seuil et un suivi-évaluation renforcé…
« Nous voulons faire la promotion de l'étude des sols par département et pouvoir conseiller des variétés d'engrais que nous pouvons conseiller aux différentes sociétés de productions dans leurs zones » a dévoilé le président de l'Intercoton, Lacina Tuo, faisant allusion au facteur N-NH4 qui a été introduit dans le cahier de charges 2015-2016 du conseil agricole.
Dressant ensuite le bilan de l'atelier, il a affirmé que la mise en œuvre des recommandations issues de cette session, permettra à termes de remédier à la baisse de la productivité à l'hectare, constatée ces dernières années dans le pays.
A la fin de la campagne cotonnière 2013-2014, la Côte d'Ivoire a produit 1,133 tonne à l'hectare contre 1,70 tonne attendue. Pour la campagne 2013-2014 la Côte d'Ivoire, a produit 400 000 tonnes de Coton. En 2014-2015 la production attendue est de 450 000 tonnes.
CK/ls/APA
