Abidjan - Un rapport du Haut conseil de la santé publique (HCSP) publié lundi, révèle que le virus Zita, proche de la dengue et du chikung unya, pourrait faire son entrée en France dans les départements métropolitains où le moustique vecteur est présent.
Selon ce rapport, les conditions sont réunies pour que ce virus transmis par un certain type de moustique arrive dans les contrées de la France.
Ce virus a été identifié pour la première fois dans la forêt ougandaise en 1947. Il se transmet par une piqûre d’un certain type de moustique du genre aèdes, connu sous le nom de "moustique tigre".
Le rapport a également indiqué que le moustique tigre, en piquant un hôte infecté puis un corps sain, se chargerait ensuite de la prolifération du virus.
Le rapport a mentionné une autre source d’inquiétude, c’est qu’en dehors du rôle joué par le moustique dans sa propagation, le virus Zi ka est notoirement connu pour pouvoir être transmis à son partenaire en cas de relation sexuelle non protégée.
Puis, lorsque l’hôte est contaminé, il peut contracter de la fièvre, des douleurs musculaires ou des éruptions cutanées et dans les cas les plus graves, entraîner des complications neurologies.
Le rapport a par ailleurs noté qu’à ce jour, aucun traitement ni aucun vaccin n’existent pour contrecarrer la progression du virus, encore mal connu, en précisant que celui-ci, perfide, peut également passer complètement inaperçu.
Toutefois, l'étude préconise la mise en place de mesures dites antivectorielles, à la manière de celles prises aux Antilles pour lutter contre le chikungunya afin de réduire les risques au minimum.
(AIP)
sdaf/cmas
Selon ce rapport, les conditions sont réunies pour que ce virus transmis par un certain type de moustique arrive dans les contrées de la France.
Ce virus a été identifié pour la première fois dans la forêt ougandaise en 1947. Il se transmet par une piqûre d’un certain type de moustique du genre aèdes, connu sous le nom de "moustique tigre".
Le rapport a également indiqué que le moustique tigre, en piquant un hôte infecté puis un corps sain, se chargerait ensuite de la prolifération du virus.
Le rapport a mentionné une autre source d’inquiétude, c’est qu’en dehors du rôle joué par le moustique dans sa propagation, le virus Zi ka est notoirement connu pour pouvoir être transmis à son partenaire en cas de relation sexuelle non protégée.
Puis, lorsque l’hôte est contaminé, il peut contracter de la fièvre, des douleurs musculaires ou des éruptions cutanées et dans les cas les plus graves, entraîner des complications neurologies.
Le rapport a par ailleurs noté qu’à ce jour, aucun traitement ni aucun vaccin n’existent pour contrecarrer la progression du virus, encore mal connu, en précisant que celui-ci, perfide, peut également passer complètement inaperçu.
Toutefois, l'étude préconise la mise en place de mesures dites antivectorielles, à la manière de celles prises aux Antilles pour lutter contre le chikungunya afin de réduire les risques au minimum.
(AIP)
sdaf/cmas