Abidjan - Trente sept Ivoiriens, dont 32 femmes ont reçu jeudi à Abidjan, leurs attestations au terme d’une formation de trois jours organisée par la Commission de la CEDEAO, en collaboration avec le ministère ivoirien de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, avec le soutien de l'Agence danoise de développement international (DANIDA).
Pour cette formation, les participants étaient issus de la société civile, des organisations non gouvernementales, des partis politiques, des médias, de la Commission électorale indépendante (CEI) ainsi que du ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant de la Côte d’Ivoire.
Pendant trois jours, les participants se sont employés sous l’encadrement des facilitateurs de la méthodologie BRIDGE (Bâtir des ressources en démocratie, gouvernance et élections), à améliorer leur compréhension du cycle électoral, à mieux apprécier l’importance de la participation des femmes aux processus électoraux et à identifier le rôle de ces dernières dans la tenue d’élections apaisées.
La formation avait pour objectif de renforcer les capacités des acteurs du système électoral sur la nécessité d’impliquer les femmes et de faire prendre en compte leurs besoins et aspirations duran t les élections.
Elle avait pour thème principal «Le renforcement de la participation des femmes pour une élection inclusive et apaisée» et comprenait un ensemble de modules.
S’exprimant à la fin de la session, la commissaire chargée des Affaires sociales et du Genre de la Commission de la CEDEAO, Dr Fatimata Dia Sow, représentée par la directrice du Genre de ladite Commission, Dr Sintiki Tarfa Ugbe, s’est félicitée des conclusions issues de la rencontre.
Quant à la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Mme Anne Désirée Ouloto, représentée par sa directrice de cabinet, Prof Edmée Mansilla, elle a invité les récipiendaires à partager les connaissances acquises pendant cette formation avec les autres couches socioprofessionnelles ivoiriennes qui n’ont pu bénéficier de ces enseignements.
«Comme nous le savons tous, notre pays est en phase préélectorale. Aussi, voudrais-je exhorter chacun et chacune à définir ses actions et son approche pour faire passer les messages livrés durant ces trois jours», a-t-elle déclaré.
La participation des femmes ivoiriennes aux prochaines élections doit s’améliorer, de même que leur représentativité à l’issue des échéances électorales, a indiqué le Prof Edmée Mansilla.
Cette session de renforcement de capacités s’inscrit dans le cadre du programme de formation initié au profit des cinq Etats membres de la CEDEAO qui organisent des élections en 2015, à savoir le Nigeria, le Togo (qui ont déjà organisé leur scruti n), le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et la Guinée qui le feront avant la fin de l’année.
(AIP)
cmas
Pour cette formation, les participants étaient issus de la société civile, des organisations non gouvernementales, des partis politiques, des médias, de la Commission électorale indépendante (CEI) ainsi que du ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant de la Côte d’Ivoire.
Pendant trois jours, les participants se sont employés sous l’encadrement des facilitateurs de la méthodologie BRIDGE (Bâtir des ressources en démocratie, gouvernance et élections), à améliorer leur compréhension du cycle électoral, à mieux apprécier l’importance de la participation des femmes aux processus électoraux et à identifier le rôle de ces dernières dans la tenue d’élections apaisées.
La formation avait pour objectif de renforcer les capacités des acteurs du système électoral sur la nécessité d’impliquer les femmes et de faire prendre en compte leurs besoins et aspirations duran t les élections.
Elle avait pour thème principal «Le renforcement de la participation des femmes pour une élection inclusive et apaisée» et comprenait un ensemble de modules.
S’exprimant à la fin de la session, la commissaire chargée des Affaires sociales et du Genre de la Commission de la CEDEAO, Dr Fatimata Dia Sow, représentée par la directrice du Genre de ladite Commission, Dr Sintiki Tarfa Ugbe, s’est félicitée des conclusions issues de la rencontre.
Quant à la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Mme Anne Désirée Ouloto, représentée par sa directrice de cabinet, Prof Edmée Mansilla, elle a invité les récipiendaires à partager les connaissances acquises pendant cette formation avec les autres couches socioprofessionnelles ivoiriennes qui n’ont pu bénéficier de ces enseignements.
«Comme nous le savons tous, notre pays est en phase préélectorale. Aussi, voudrais-je exhorter chacun et chacune à définir ses actions et son approche pour faire passer les messages livrés durant ces trois jours», a-t-elle déclaré.
La participation des femmes ivoiriennes aux prochaines élections doit s’améliorer, de même que leur représentativité à l’issue des échéances électorales, a indiqué le Prof Edmée Mansilla.
Cette session de renforcement de capacités s’inscrit dans le cadre du programme de formation initié au profit des cinq Etats membres de la CEDEAO qui organisent des élections en 2015, à savoir le Nigeria, le Togo (qui ont déjà organisé leur scruti n), le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et la Guinée qui le feront avant la fin de l’année.
(AIP)
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