Abidjan - Quelque 300 policiers ivoiriens ont été déployés, vendredi, dans la commune de Yopougon (Ouest d’Abidjan) où des affrontements entre des enfants agresseurs, communément appelés ‘’microbes’’ et la population ont fait la veille deux morts, annonce le Préfet de Police d’Abidjan, Joseph Yao Kouamé.
« Depuis cette malheureuse situation, nous avons renforcé le dispositif sécuritaire dans la zone de Yopougon. Pour ce jour, 300 de nos collaborateurs ont été déployés sur le terrain pour quadriller pas seulement la zone où il y a eu le drame, mais toute la commune de Yopougon en mettant l’accent sur la zone où il y a eu cette situation », a expliqué au cours d’une conférence de presse le Préfet de police d’Abidjan.
« Nous avons noté deux décès. La troisième personne a été conduite aux urgences du CHU (Centre hospitalier et universitaire) de Treichville », a ajouté l’officier supérieur de police entouré pour la circonstance par Vincent Tohbi Irié, Directeur de cabinet adjoint chargé de l’Administration du Territoire au ministère d’Etat, ministère de l’intérieur ainsi que le Commissaire principal, Franck Yao Koffi, Directeur des unités d’intervention.
« Nous mettons en garde, tout individu qui va se permettre de divulguer de fausses informations à l’effet de troubler l’ordre public va subir la rigueur de la loi », a prévenu le Préfet de Police d’Abidjan, Joseph Yao Kouamé, rassurant que les « mêmes vigilances existent ailleurs » (dans les autres communes) pour la protection des populations.
Il s’est également prononcé sur l’assassinat de l’étudiante Claude Larissa Abogny, âgée de 23 ans. « Au petit matin d’avant-hier, nous avons appris qu’une jeune dame s’est levée pour se rendre dans son Centre d’examen (candidate au Brevet de technicien supérieur), quand dans un couloir elle a été attaquée, et elle a été mortellement poignardée », a expliqué à ce propos le Préfet de police d’Abidjan.
« Le décès de la jeune dame de 23 ans, étudiante et des trois jeunes n’ont pas de lien », a-t-il poursuivi, rappelant que la scène de la jeune dame « s’est passée entre 3h et 3h30 du matin ».
« Que les populations se tranquillisent, la police est toujours là, appuyée par la gendarmerie pour assurer leur protection. Il ne faudrait pas qu’elles pensent qu’elles sont abandonnées », a conclu Joseph Yao Kouamé.
MC/ls/APA
« Depuis cette malheureuse situation, nous avons renforcé le dispositif sécuritaire dans la zone de Yopougon. Pour ce jour, 300 de nos collaborateurs ont été déployés sur le terrain pour quadriller pas seulement la zone où il y a eu le drame, mais toute la commune de Yopougon en mettant l’accent sur la zone où il y a eu cette situation », a expliqué au cours d’une conférence de presse le Préfet de police d’Abidjan.
« Nous avons noté deux décès. La troisième personne a été conduite aux urgences du CHU (Centre hospitalier et universitaire) de Treichville », a ajouté l’officier supérieur de police entouré pour la circonstance par Vincent Tohbi Irié, Directeur de cabinet adjoint chargé de l’Administration du Territoire au ministère d’Etat, ministère de l’intérieur ainsi que le Commissaire principal, Franck Yao Koffi, Directeur des unités d’intervention.
« Nous mettons en garde, tout individu qui va se permettre de divulguer de fausses informations à l’effet de troubler l’ordre public va subir la rigueur de la loi », a prévenu le Préfet de Police d’Abidjan, Joseph Yao Kouamé, rassurant que les « mêmes vigilances existent ailleurs » (dans les autres communes) pour la protection des populations.
Il s’est également prononcé sur l’assassinat de l’étudiante Claude Larissa Abogny, âgée de 23 ans. « Au petit matin d’avant-hier, nous avons appris qu’une jeune dame s’est levée pour se rendre dans son Centre d’examen (candidate au Brevet de technicien supérieur), quand dans un couloir elle a été attaquée, et elle a été mortellement poignardée », a expliqué à ce propos le Préfet de police d’Abidjan.
« Le décès de la jeune dame de 23 ans, étudiante et des trois jeunes n’ont pas de lien », a-t-il poursuivi, rappelant que la scène de la jeune dame « s’est passée entre 3h et 3h30 du matin ».
« Que les populations se tranquillisent, la police est toujours là, appuyée par la gendarmerie pour assurer leur protection. Il ne faudrait pas qu’elles pensent qu’elles sont abandonnées », a conclu Joseph Yao Kouamé.
MC/ls/APA