Agboville - La nouvelle Société la Cotonnière Ivoirienne (Cotivo) à Agboville, est une entreprise hautement rentable, a assuré lundi le président directeur général (PDG) de l’Union Textile et Industrielle de Côte d’Ivoire (UTEXI), Dr Konaté Vassiriki, adjudicateur de l’entreprise Cotivo liquidée judiciairement et reprise offic iellement depuis le 03 août.
"Même en travaillant 24 heures /24 et 365 Jours / 365, la nouvelle Cotivo remise en marche avec de nouveaux équipements et sa sœur Utexi-Dimbokro nouvellement équipée, ne peuvent à elles seules honorer l’immense besoin du marché local", a affirmé le PDG, lors de sa conférence de presse dans les locaux de l’ex-Cotivo.
Dr Konaté a indiqué que les besoins actuels de la seule entreprise "Uniwax Côte d’Ivoire", pour laquelle l’ex-Cotivo avait été conçu initialement sont de l’ordre de 80 millions de mètres de pagne par an, alors que Utexi ne sera qu’entre 25 et 27 millions de mètres, lorsque les deux tiers des machines encore fonctionnelles, seront mis en marche d’ici deux mois.
L’usine Uniwax qui fabrique le pagne a déj&agrav e; envoyé ses premiers bons de commande à Utexi-Agboville, alors même que les premiers filages de coton ne seront disponibles que dans un court terme, insiste le nouveau responsable pour justifier son optimisme. Les nouveaux actionnaires ont déboursé trois milliards F CFA pour acquérir l’ex-Cotivo.
"N’ayez crainte, le marché existe", s’adressant aux nouveaux employés, ainsi qu’à la population d’Agboville, qui pourraient éventuellement craindre que Utexi-Agboville ne soit une entreprise "mort-née", au vu des difficultés que l’ex-Cotivo a vécu plus de dix ans durant et qui l’a obligé à ne fonctionner qu’avec moins de 10% de ces capacités.
La ville d’Agboville et ses environs devraient pouvoir ressentir dans un très court terme, affirme Dr Konaté, une ent rée progressive de l’ex-Cotivo dans leur vie au quotidien, avec un changement "positif" dans l’activité économique de la capitale de la région de l’Agnéby-Tiassa.
La Cotivo est morte juridiquement du fait de dysfonctionnement interne et externe, cumulé au désordre dans l’entreprise, qui était le résultat du "non-fonctionnement" de l’usine, bloquée de manière intermittente durant plus de dix ans, par d’interminables grèves sociales du personnel, qui revendiquait légitimement ses dus, a rappelé Dr Konaté Vassiriki.
(AIP)
dd/akn/kam
"Même en travaillant 24 heures /24 et 365 Jours / 365, la nouvelle Cotivo remise en marche avec de nouveaux équipements et sa sœur Utexi-Dimbokro nouvellement équipée, ne peuvent à elles seules honorer l’immense besoin du marché local", a affirmé le PDG, lors de sa conférence de presse dans les locaux de l’ex-Cotivo.
Dr Konaté a indiqué que les besoins actuels de la seule entreprise "Uniwax Côte d’Ivoire", pour laquelle l’ex-Cotivo avait été conçu initialement sont de l’ordre de 80 millions de mètres de pagne par an, alors que Utexi ne sera qu’entre 25 et 27 millions de mètres, lorsque les deux tiers des machines encore fonctionnelles, seront mis en marche d’ici deux mois.
L’usine Uniwax qui fabrique le pagne a déj&agrav e; envoyé ses premiers bons de commande à Utexi-Agboville, alors même que les premiers filages de coton ne seront disponibles que dans un court terme, insiste le nouveau responsable pour justifier son optimisme. Les nouveaux actionnaires ont déboursé trois milliards F CFA pour acquérir l’ex-Cotivo.
"N’ayez crainte, le marché existe", s’adressant aux nouveaux employés, ainsi qu’à la population d’Agboville, qui pourraient éventuellement craindre que Utexi-Agboville ne soit une entreprise "mort-née", au vu des difficultés que l’ex-Cotivo a vécu plus de dix ans durant et qui l’a obligé à ne fonctionner qu’avec moins de 10% de ces capacités.
La ville d’Agboville et ses environs devraient pouvoir ressentir dans un très court terme, affirme Dr Konaté, une ent rée progressive de l’ex-Cotivo dans leur vie au quotidien, avec un changement "positif" dans l’activité économique de la capitale de la région de l’Agnéby-Tiassa.
La Cotivo est morte juridiquement du fait de dysfonctionnement interne et externe, cumulé au désordre dans l’entreprise, qui était le résultat du "non-fonctionnement" de l’usine, bloquée de manière intermittente durant plus de dix ans, par d’interminables grèves sociales du personnel, qui revendiquait légitimement ses dus, a rappelé Dr Konaté Vassiriki.
(AIP)
dd/akn/kam