3 des 4 individus qui ont semé le désordre et la barbarie à l’hôpital général de Port-Bouêt et maltraité le personnel médical ont été condamnés hier à 6 mois fermes de prison par le tribunal de première instance d’Abidjan-Plateau
Six mois fermes de prison et 4 millions F d’amende pour les dégâts causés. C’est la peine infligée à trois des quatre personnes qui ont semé la terreur et la désolation à l’hôpital de Port-Bouët. L’un des quatre prévenus a été relaxé pour avoir eu recours à la police pour mettre fin à ces actes de barbarie. C’est le verdict du tribunal de première instance d’Abidjan. En effet, au nombre de quatre, les auteurs de cet acte d’un autre âge se sont attaqué à l’hôpital général de Port-Bouët et à son personnel soignant dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 août derniers. De quoi s’agit-il ? En effet, notre source explique que dans la nuit du vendredi au samedi, 4 individus accompagnant un malade au service des urgences se sont offusqués de constater que les soins qu’ils pensaient gratuits ne l’étaient pas en réalité. En fait toujours selon nos sources, le médecin traitant, leur a présenté une ordonnance pour les soins de leur parent. Et ce geste a suffi pour susciter leur courroux. Ils ont alors blessé des médecins et violenté les malades. Une des malades hospitalisée et violentée par « ces malfrats» a finalement perdu la vie quelque jours après leur forfait. Ce verdict rendu par le tribunal de première instance n’est pas apprécié par tout le monde. En effet, les parents de la défunte estiment que le verdict n’est pas assez sévère eu égard aux dégâts que le comportement de ces individus ont causés. Selon certaines indiscrétions, ils envisageraient interjeter appel du premier jugement.
Rosemonde Kouadio
Six mois fermes de prison et 4 millions F d’amende pour les dégâts causés. C’est la peine infligée à trois des quatre personnes qui ont semé la terreur et la désolation à l’hôpital de Port-Bouët. L’un des quatre prévenus a été relaxé pour avoir eu recours à la police pour mettre fin à ces actes de barbarie. C’est le verdict du tribunal de première instance d’Abidjan. En effet, au nombre de quatre, les auteurs de cet acte d’un autre âge se sont attaqué à l’hôpital général de Port-Bouët et à son personnel soignant dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 août derniers. De quoi s’agit-il ? En effet, notre source explique que dans la nuit du vendredi au samedi, 4 individus accompagnant un malade au service des urgences se sont offusqués de constater que les soins qu’ils pensaient gratuits ne l’étaient pas en réalité. En fait toujours selon nos sources, le médecin traitant, leur a présenté une ordonnance pour les soins de leur parent. Et ce geste a suffi pour susciter leur courroux. Ils ont alors blessé des médecins et violenté les malades. Une des malades hospitalisée et violentée par « ces malfrats» a finalement perdu la vie quelque jours après leur forfait. Ce verdict rendu par le tribunal de première instance n’est pas apprécié par tout le monde. En effet, les parents de la défunte estiment que le verdict n’est pas assez sévère eu égard aux dégâts que le comportement de ces individus ont causés. Selon certaines indiscrétions, ils envisageraient interjeter appel du premier jugement.
Rosemonde Kouadio
