La Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) a annoncé, mercredi soir, à Abidjan, un programme de « télégestion » pour améliorer l’éclairage public à travers le pays où quelque 414 mille foyers bénéficient de l’éclairage public.
L’annonce a été faite par le Sous directeur en charge de l’éclairage public à la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) Oumar Yéo au cours de la troisième édition du «Club mobilité» d’Acturoutes, une plateforme multi-supports d’informations sur les routes et les transports.
« Nous sommes amenés à remplacer plusieurs fois la même chose. Aussi, faut il mettre en place des bannières de sécurité lors des constructions des voies publiques ‘’, a-t-il suggéré, expliquant que le projet de « télégestion » permettra de détecter les anomalies.
« Il s’agit d’un outil moderne pour avoir l’information en temps réel, détecter des anomalies et faire des économies d’énergies », a poursuivi M. Yéo à ce propos. Selon lui, quelque 414 mille foyers dont 22 % à l’intérieur bénéficient de l’éclairage public en Côte d’Ivoire.
Ce chiffre représente 7% de la production nationale, a-t-il ajouté en dénonçant de nombreux actes de vandalisme sur les réseaux et autres outils qui perturbent l’éclairage public.
L’Agence nationale de régulation du secteur de l’énergie (ANARE), s’est félicitée à cette occasion, de l’augmentation de l’éclairage public. « Depuis 2014, nous constatons que l’éclairage public est en augmentation », a indiqué Henri Pépin Krou, Conseiller technique du Directeur général de cette Agence.
« En tant que régulateur, nous avons un devoir de transparence .Les populations peuvent nous saisir en cas d’inquiétude », a-t il fait savoir. Ndri Kouassi, Chef du service distribution, pétrole et énergie au ministère du pétrole et de l’énergie a précisé dans la foulée que « l’éclairage public n’est pas gratuit ».
« C’est l’Etat qui paye pour tout le territoire et le District d’Abidjan pour sa zone de compétence », a-t-il ajouté. L’énergie solaire a été également au centre des échanges.
« D’ici 2020, l’Etat de Côte d’Ivoire a décidé d’avoir 15% d’énergie renouvelable parmi lesquels, l’énergie solaire’’ a précisé Ndri Kouassi. A ce sujet, Oumar Yéo a révélé que l’autoroute Mohamed VI (Voie express Abobo-Anyama) qui a bénéficié d’un éclairage public à partir de l’énergie solaire est une voie expérimentale.
Le club mobilité, a précisé Barthélémy Kouamé, Directeur général d’Acturoutes, est un « cadre d’échanges entre tous les professionnels de la mobilité, c’est ç-à-dire les experts des infrastructures, des routes et des transports », l’objectif étant de contribuer à une mobilité plus fluide et plus sûr.
SY/ls/APA
L’annonce a été faite par le Sous directeur en charge de l’éclairage public à la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) Oumar Yéo au cours de la troisième édition du «Club mobilité» d’Acturoutes, une plateforme multi-supports d’informations sur les routes et les transports.
« Nous sommes amenés à remplacer plusieurs fois la même chose. Aussi, faut il mettre en place des bannières de sécurité lors des constructions des voies publiques ‘’, a-t-il suggéré, expliquant que le projet de « télégestion » permettra de détecter les anomalies.
« Il s’agit d’un outil moderne pour avoir l’information en temps réel, détecter des anomalies et faire des économies d’énergies », a poursuivi M. Yéo à ce propos. Selon lui, quelque 414 mille foyers dont 22 % à l’intérieur bénéficient de l’éclairage public en Côte d’Ivoire.
Ce chiffre représente 7% de la production nationale, a-t-il ajouté en dénonçant de nombreux actes de vandalisme sur les réseaux et autres outils qui perturbent l’éclairage public.
L’Agence nationale de régulation du secteur de l’énergie (ANARE), s’est félicitée à cette occasion, de l’augmentation de l’éclairage public. « Depuis 2014, nous constatons que l’éclairage public est en augmentation », a indiqué Henri Pépin Krou, Conseiller technique du Directeur général de cette Agence.
« En tant que régulateur, nous avons un devoir de transparence .Les populations peuvent nous saisir en cas d’inquiétude », a-t il fait savoir. Ndri Kouassi, Chef du service distribution, pétrole et énergie au ministère du pétrole et de l’énergie a précisé dans la foulée que « l’éclairage public n’est pas gratuit ».
« C’est l’Etat qui paye pour tout le territoire et le District d’Abidjan pour sa zone de compétence », a-t-il ajouté. L’énergie solaire a été également au centre des échanges.
« D’ici 2020, l’Etat de Côte d’Ivoire a décidé d’avoir 15% d’énergie renouvelable parmi lesquels, l’énergie solaire’’ a précisé Ndri Kouassi. A ce sujet, Oumar Yéo a révélé que l’autoroute Mohamed VI (Voie express Abobo-Anyama) qui a bénéficié d’un éclairage public à partir de l’énergie solaire est une voie expérimentale.
Le club mobilité, a précisé Barthélémy Kouamé, Directeur général d’Acturoutes, est un « cadre d’échanges entre tous les professionnels de la mobilité, c’est ç-à-dire les experts des infrastructures, des routes et des transports », l’objectif étant de contribuer à une mobilité plus fluide et plus sûr.
SY/ls/APA