Abidjan, Dans un communiqué publié lundi, l’Africa Finance Corporation (AFC) annonce qu’elle a accepté une ligne de financement de 50 millions de dollars US de la Banque islamique de développement (BID), avec un remboursement sur 13 ans et six mois.
Ces fonds serviront à financer des projets dans les nombreux pays africains membres de la BID. Il s’agira principalement de projets infrastructurels et agricoles structurés conformément à la finance islamique et promouvant le développement social et économique des communautés concernées.
Ce premier emprunt de l’AFC à la finance islamique est le résultat de plusieurs années de coopération et de collaboration croissantes entre les deux institutions. Les discussions initiées par l’AFC en 2009 ont abouti à la conclusion d’un Protocole d’Entente avec la Société Islamique pour le Développement du Secteur Privé (ICD) – la division secteur privé du Groupe BID.
Sur la base de ce travail préparatoire, une équipe de la BID a approché l’AFC en 2014, suite à la réaffirmation par Moody’s de la notation de crédit internationale A3/P2 de l’AFC et aux solides antécédents de celle-ci dans le financement et le développement de projets phares sur le continent afric ain.
L’implication de l’AFC dans des projets tels que la route à péage de Bakwena – un développement infrastructurel de transport qui a permis de connecter le cœur industriel de l’Afrique du Sud au port en eau profonde le plus proche au Mozambique – a significativement contribué à l’aboutissement de sa demande.
Selon Andrew Alli, président-directeur général de l’AFC, en tant que premier emprunt de l’AFC à la finance islamique, cet accord constitue une étape importante pour notre société.
« La finance islamique répond à une demande élevée et connaît une expansion rapide. De nombreuses institutions financières islamiques établissent leurs opérations dans la région étant donné l’importante population musulmane de l’Af rique », a-t-il poursuivi, ajoutant que le potentiel de croissance de ce secteur est énorme.
« Nous avons l’intention d’utiliser la totalité de l’emprunt et du capital pour financer et développer des projets dans les pays membres de la BID, dont plusieurs sont également membres de l’AFC. C’est grâce à de tels emprunts que l’AFC peut continuer à améliorer la qualité des infrastructures du continent, et stimuler ainsi la croissance économique de l’Afrique », a expliqué Andrew Alli.
Outre un financement significatif des activités de la société, l’accord conclu entre l’AFC et la BID établit une solide relation intercontinentale qui devrait mener à une collaboration toujours plus étroite entre les institutions de l’Afrique et du Moyen-Orient. (A ce jour, un dollar = 574 FCFA)
(AIP)
cmas
Ces fonds serviront à financer des projets dans les nombreux pays africains membres de la BID. Il s’agira principalement de projets infrastructurels et agricoles structurés conformément à la finance islamique et promouvant le développement social et économique des communautés concernées.
Ce premier emprunt de l’AFC à la finance islamique est le résultat de plusieurs années de coopération et de collaboration croissantes entre les deux institutions. Les discussions initiées par l’AFC en 2009 ont abouti à la conclusion d’un Protocole d’Entente avec la Société Islamique pour le Développement du Secteur Privé (ICD) – la division secteur privé du Groupe BID.
Sur la base de ce travail préparatoire, une équipe de la BID a approché l’AFC en 2014, suite à la réaffirmation par Moody’s de la notation de crédit internationale A3/P2 de l’AFC et aux solides antécédents de celle-ci dans le financement et le développement de projets phares sur le continent afric ain.
L’implication de l’AFC dans des projets tels que la route à péage de Bakwena – un développement infrastructurel de transport qui a permis de connecter le cœur industriel de l’Afrique du Sud au port en eau profonde le plus proche au Mozambique – a significativement contribué à l’aboutissement de sa demande.
Selon Andrew Alli, président-directeur général de l’AFC, en tant que premier emprunt de l’AFC à la finance islamique, cet accord constitue une étape importante pour notre société.
« La finance islamique répond à une demande élevée et connaît une expansion rapide. De nombreuses institutions financières islamiques établissent leurs opérations dans la région étant donné l’importante population musulmane de l’Af rique », a-t-il poursuivi, ajoutant que le potentiel de croissance de ce secteur est énorme.
« Nous avons l’intention d’utiliser la totalité de l’emprunt et du capital pour financer et développer des projets dans les pays membres de la BID, dont plusieurs sont également membres de l’AFC. C’est grâce à de tels emprunts que l’AFC peut continuer à améliorer la qualité des infrastructures du continent, et stimuler ainsi la croissance économique de l’Afrique », a expliqué Andrew Alli.
Outre un financement significatif des activités de la société, l’accord conclu entre l’AFC et la BID établit une solide relation intercontinentale qui devrait mener à une collaboration toujours plus étroite entre les institutions de l’Afrique et du Moyen-Orient. (A ce jour, un dollar = 574 FCFA)
(AIP)
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