Agboville - Le programme national de lutte contre le Sida (PNLS) recommande un plaidoyer à l’endroit du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI) et autres responsables de presse en général, en vue d’un traitement de l’information sur le Vih et la lutte contre la stigmatisation chez les personnes hautement vuln&ea cute;rables.
"Nous exhortons les premiers responsables de presse à s’associer à la lutte", a plaidé docteur Nahounou Lanwis Gogoua, représentant le ministre de la santé et de la lutte contre le Sida, Raymonde Goudou-Coffie, à l’atelier initié par le PNLS, du 17 au 19 août, à Agboville, et dont l’AIP a reçu mercredi, copie des recommandations.
Les membres du GEPCI et des rédacteurs en Chef des organes de presse-papier et presse en ligne devraient aussi prendre part aux ateliers bilan de la lutte contre le sida, à l’image des journalistes et correspondants de presse, a insisté l’atelier, qui a aussi exhorté le Msls à faciliter l’accès à l’information pour les journalistes.
Le lien entre les écrits et l’impact sur les populations en matière de potentielle sti gmatisation des populations clés doit se faire, rapporte l’atelier, qui a sensibilisé les journalistes à la lutte contre la stigmatisation des populations clés.
Les prochaines étapes de la campagne "zéro nouvelle infection à VIH, zéro discrimination, zéro décès dû au Sida", vont consister à mettre en place un pool de points focaux au niveau des organes de presse et d’évaluer les parutions sur les personnes hautement vulnérables (PHV).
L’évaluation des parutions sur les PHV sera faite, et un prix sera instauré pour récompenser les meilleurs écrits, notamment, celles qui impactent sur les populations en matière de potentielle stigmatisation des populations clés.
La trentaine de participants a enfin recommandé l’accès à l’information pour les journalistes au niveau du Msls, et demandé qu’un pool de points focaux soit monté au niveau des organes de presse en Côte d’Ivoire.
La stigmatisation consiste à dénoncer ou critiquer une personne publiquement, quant la discrimination est l’action de distinguer quelqu’un à partir de certains critères ou caractères distinctifs, apprend-t-on.
(AIP)
dd/akn/ask
"Nous exhortons les premiers responsables de presse à s’associer à la lutte", a plaidé docteur Nahounou Lanwis Gogoua, représentant le ministre de la santé et de la lutte contre le Sida, Raymonde Goudou-Coffie, à l’atelier initié par le PNLS, du 17 au 19 août, à Agboville, et dont l’AIP a reçu mercredi, copie des recommandations.
Les membres du GEPCI et des rédacteurs en Chef des organes de presse-papier et presse en ligne devraient aussi prendre part aux ateliers bilan de la lutte contre le sida, à l’image des journalistes et correspondants de presse, a insisté l’atelier, qui a aussi exhorté le Msls à faciliter l’accès à l’information pour les journalistes.
Le lien entre les écrits et l’impact sur les populations en matière de potentielle sti gmatisation des populations clés doit se faire, rapporte l’atelier, qui a sensibilisé les journalistes à la lutte contre la stigmatisation des populations clés.
Les prochaines étapes de la campagne "zéro nouvelle infection à VIH, zéro discrimination, zéro décès dû au Sida", vont consister à mettre en place un pool de points focaux au niveau des organes de presse et d’évaluer les parutions sur les personnes hautement vulnérables (PHV).
L’évaluation des parutions sur les PHV sera faite, et un prix sera instauré pour récompenser les meilleurs écrits, notamment, celles qui impactent sur les populations en matière de potentielle stigmatisation des populations clés.
La trentaine de participants a enfin recommandé l’accès à l’information pour les journalistes au niveau du Msls, et demandé qu’un pool de points focaux soit monté au niveau des organes de presse en Côte d’Ivoire.
La stigmatisation consiste à dénoncer ou critiquer une personne publiquement, quant la discrimination est l’action de distinguer quelqu’un à partir de certains critères ou caractères distinctifs, apprend-t-on.
(AIP)
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