Quatre dirigeants ivoiriens que sont Koné Cheikh Oumar, anciennement président de l’Africa Sports d’Abidjan, Eric Monnet Nelson, président de Adzopé FC, (club relégué en Division à l’issue de la saison 2014-2015), Dao Mamadou, président de Atlantis FC (Division 3) et Eugène-Marie Diomandé, président du Sewé Sport de San Pedro, tous candidats déclarés à la présidence de la présidence de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF) ont co-animé (le dernier s’étant excusé) une conférence de presse ce Mercredi 26 août 2015.
Ils ont demandé le départ du président actuel de l’institution, Augustin Sidy Diallo et l’organisation d’une assemblée générale élective pour renouveler les instances de l’institution.
Se fondant sur les articles 34 alinéas 1, 42 alinéas 2 et 43 alinéas 1 des statuts de la Fédération, ils soutiennent que le mandat de l’actuel locataire de la Maison de Verre est venu à expiration depuis le 30 juin dernier, date limite de l’année civile.
Ils ont saisi la justice, le ministère de tutelle et le Comité National Olympique (CNO) pour contraindre le président sortant à organiser les élections.
De son côté, la FIF réfute les arguments de ces quatre personnalités du monde du football ivoirien.
Le porte-parole Pierre Gondo a fait savoir que ces quatre personnes font une lecture erronée desdits articles.
Pour lui, contrairement à ce qu’avancent les ‘’adversaires’’, les textes donnent l’occasion à la FIF d’organiser les élections au plus tard le 30 juin 2016 et non le 30 juin 2015.
‘’La date du 30 juin est une date boussole pour toutes les fédérations du monde. Elle a été indiquée par la FIFA afin d’amener les fédérations à ne pas aller au-delà de cette date si le mandat expire avant. Mais si le mandat d’un président commence après le 30 juin comme celui de la Côte d’Ivoire avec le président Sidy Diallo, quatre années après, ce président a jusqu’à six mois après pour organiser les élections. Il ne tient plus compte du 30 juin de l’année civile en cours mais de l’année civile prochaine. Cela est écrit dans les textes’’, a argumenté Pierre Gondo.
Par ailleurs membre du Comité Exécutif de la FIF , le porte-parole ajoute : ‘’Ici, il faut voir l’esprit des textes et non la lettre. Malheureusement c’est cette erreur que font nos adversaires’’.
Un autre fait attire l’attention des observateurs. Selon eux, la non-tenue des élections qui devaient avoir lieu en Septembre, serait lié à la sensibilité de la période politique du pays avec l’organisation attendue de l’élection présidentielle au mois d’octobre prochain ?
Ainsi la FIF n’échappe pas à la règle ‘’imposée en haut lieu’’ depuis près d’un an, qui a vu d’autres structures et non des moindres (dont récemment l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire) suspendre la tenue de leur AG élective ou Congrès, jusqu’à la fin de l’élection présidentielle ivoirienne.
Ils ont demandé le départ du président actuel de l’institution, Augustin Sidy Diallo et l’organisation d’une assemblée générale élective pour renouveler les instances de l’institution.
Se fondant sur les articles 34 alinéas 1, 42 alinéas 2 et 43 alinéas 1 des statuts de la Fédération, ils soutiennent que le mandat de l’actuel locataire de la Maison de Verre est venu à expiration depuis le 30 juin dernier, date limite de l’année civile.
Ils ont saisi la justice, le ministère de tutelle et le Comité National Olympique (CNO) pour contraindre le président sortant à organiser les élections.
De son côté, la FIF réfute les arguments de ces quatre personnalités du monde du football ivoirien.
Le porte-parole Pierre Gondo a fait savoir que ces quatre personnes font une lecture erronée desdits articles.
Pour lui, contrairement à ce qu’avancent les ‘’adversaires’’, les textes donnent l’occasion à la FIF d’organiser les élections au plus tard le 30 juin 2016 et non le 30 juin 2015.
‘’La date du 30 juin est une date boussole pour toutes les fédérations du monde. Elle a été indiquée par la FIFA afin d’amener les fédérations à ne pas aller au-delà de cette date si le mandat expire avant. Mais si le mandat d’un président commence après le 30 juin comme celui de la Côte d’Ivoire avec le président Sidy Diallo, quatre années après, ce président a jusqu’à six mois après pour organiser les élections. Il ne tient plus compte du 30 juin de l’année civile en cours mais de l’année civile prochaine. Cela est écrit dans les textes’’, a argumenté Pierre Gondo.
Par ailleurs membre du Comité Exécutif de la FIF , le porte-parole ajoute : ‘’Ici, il faut voir l’esprit des textes et non la lettre. Malheureusement c’est cette erreur que font nos adversaires’’.
Un autre fait attire l’attention des observateurs. Selon eux, la non-tenue des élections qui devaient avoir lieu en Septembre, serait lié à la sensibilité de la période politique du pays avec l’organisation attendue de l’élection présidentielle au mois d’octobre prochain ?
Ainsi la FIF n’échappe pas à la règle ‘’imposée en haut lieu’’ depuis près d’un an, qui a vu d’autres structures et non des moindres (dont récemment l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire) suspendre la tenue de leur AG élective ou Congrès, jusqu’à la fin de l’élection présidentielle ivoirienne.