Quatre magistrats du siège et du parquet ont été désignés pour statuer sur les affaires de corruption et des infractions assimilées au sein de la Haute autorité pour la Bonne gouvernance (HABG). Une cérémonie s’est déroulée à cet effet, le 3 septembre au siège de la HABG à Cocody-Riviéra 4. Il s’agit du Juge d’instruction du 7ème Cabinet d’instruction du Tribunal de Première instance d’Abidjan-Plateau, Mme Ouattara M’Man, du Procureur de la République adjoint, Kanga Yao et des Substituts du Procureur, Blah Julien Herbert et N’Guessan épouse Wognin Amoin Harlette.
La désignation de ces quatre juges répond à l’article 27 de l’ordonnance n°2013-660 du 20 septembre 2013 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption et les infractions assimilées qui prévoit l’institution auprès de chaque juridiction, des magistrats du siège et du parquet chargés spécialement de connaitre les infractions prévues par la présente ordonnance.
Le président de la HABG, M. Seydou Diarra a exhorté ces quatre juges, à « s’engager résolument dans la lutte contre la corruption, pour extirper de la société ivoirienne, tous les comportements illicites, afin de promouvoir un ivoirien nouveau, éthique et respectueux de la chose publique ».
Pour ce faire, il les a encouragés à agir avec rigueur, probité et célérité dans l’exercice de leur mission pour permettre à la HABG d’atteindre son ambition « de supprimer toutes les poches de corruption et infractions assimilées (…) à travers la sensibilisation, l’éducation et la formation, mais aussi à travers la sanction», a fait savoir le président Seydou Diarra.
L’ambition d’émergence que veut atteindre le Président de la République à l’horizon 2020, l’attractivité du pays et la compétitivité des entreprises, la mobilisation des ressources auprès des partenaires financiers, et le bien-être des populations sont autant de facteurs qui requièrent que la corruption soit extirpée de la société ivoirienne, a-t-il souligné.
Autorité administrative indépendante dotée de la personnalité morale et de l’autonomie financière, la HABG a pour mission essentielle de prévenir et de lutter contre la corruption en recueillant et en exploitant les dénonciations et les plaintes pour conduire des investigations sur les pratiques de corruption et leurs auteurs.
L’enjeu est de pouvoir les poursuivre en justice par la saisine du Procureur de la République, qui est compétent en la matière.
La désignation de ces quatre juges répond à l’article 27 de l’ordonnance n°2013-660 du 20 septembre 2013 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption et les infractions assimilées qui prévoit l’institution auprès de chaque juridiction, des magistrats du siège et du parquet chargés spécialement de connaitre les infractions prévues par la présente ordonnance.
Le président de la HABG, M. Seydou Diarra a exhorté ces quatre juges, à « s’engager résolument dans la lutte contre la corruption, pour extirper de la société ivoirienne, tous les comportements illicites, afin de promouvoir un ivoirien nouveau, éthique et respectueux de la chose publique ».
Pour ce faire, il les a encouragés à agir avec rigueur, probité et célérité dans l’exercice de leur mission pour permettre à la HABG d’atteindre son ambition « de supprimer toutes les poches de corruption et infractions assimilées (…) à travers la sensibilisation, l’éducation et la formation, mais aussi à travers la sanction», a fait savoir le président Seydou Diarra.
L’ambition d’émergence que veut atteindre le Président de la République à l’horizon 2020, l’attractivité du pays et la compétitivité des entreprises, la mobilisation des ressources auprès des partenaires financiers, et le bien-être des populations sont autant de facteurs qui requièrent que la corruption soit extirpée de la société ivoirienne, a-t-il souligné.
Autorité administrative indépendante dotée de la personnalité morale et de l’autonomie financière, la HABG a pour mission essentielle de prévenir et de lutter contre la corruption en recueillant et en exploitant les dénonciations et les plaintes pour conduire des investigations sur les pratiques de corruption et leurs auteurs.
L’enjeu est de pouvoir les poursuivre en justice par la saisine du Procureur de la République, qui est compétent en la matière.