Le candidat Essy Amara a fait, vendredi lors d’une conférence de presse, le constat de plusieurs « anomalies porteuses de risques » pour le pays dans le cadre de la prochaine présidentielle en Côte d’Ivoire.
Selon lui, en effet, le solde du contentieux électoral de 2010 n’est toujours apuré ; car une moitié de la Côte d’Ivoire continue à avoir des doutes sur le véritables résultats des dernières élections présidentielles qui ont porté Alassane Ouattara au pouvoir.
En outre, il indique que le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko a été maintenu à la tête de ladite institution en dépit du code électoral qui ne prévoit pas la reconduction de son mandat.
« L’un des enjeux de l’élections est d’enfin faire coïncider la légalité avec la légitimité pour pouvoir reformer notre pays et accompagner sa transformation démographique », a-t-il poursuivi.
S’agissant du débat en cours sur l’article 35, M. Essy a invité au respect de la constitution ivoirienne. « Tant qu’une loi n’est pas abrogée elle doit s’appliquer à tous. La constitution doit s’appliquer intégralement », a-t-il déclaré.
Pour lui, il n’existe pas d’autre voie que le respect de la constitution et l’affirmation de son primat sur les loi et les règlements
Par conséquent Essy Amara invite à tirer les leçons de l’actualité du continent notamment les récentes crises au Burkina et au Burundi qui tirent leurs origines du fait du « non respect » de la loi fondamentale.
Robert KRA
Selon lui, en effet, le solde du contentieux électoral de 2010 n’est toujours apuré ; car une moitié de la Côte d’Ivoire continue à avoir des doutes sur le véritables résultats des dernières élections présidentielles qui ont porté Alassane Ouattara au pouvoir.
En outre, il indique que le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko a été maintenu à la tête de ladite institution en dépit du code électoral qui ne prévoit pas la reconduction de son mandat.
« L’un des enjeux de l’élections est d’enfin faire coïncider la légalité avec la légitimité pour pouvoir reformer notre pays et accompagner sa transformation démographique », a-t-il poursuivi.
S’agissant du débat en cours sur l’article 35, M. Essy a invité au respect de la constitution ivoirienne. « Tant qu’une loi n’est pas abrogée elle doit s’appliquer à tous. La constitution doit s’appliquer intégralement », a-t-il déclaré.
Pour lui, il n’existe pas d’autre voie que le respect de la constitution et l’affirmation de son primat sur les loi et les règlements
Par conséquent Essy Amara invite à tirer les leçons de l’actualité du continent notamment les récentes crises au Burkina et au Burundi qui tirent leurs origines du fait du « non respect » de la loi fondamentale.
Robert KRA