Bouaflé - les femmes de l’association des femmes Ayaou de Bouaflé (AFABO) on été instruites, vendredi, sur le rapport existant entre une association et la solidarité, lors d’une conférence au centre culturel Koko de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué).
Cette conférence s’inscrit dans le cadre des activités de l’AFABO dont l’objectif est de faire comprendre les avantages à s’adhérer à une association et de rendre hommage aux femmes Ayaou de Bouaflé.
Selon le conférencier, N’Goran Alexis, directeur régional de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (SFFE), la femme doit être animée d’un esprit de solidarité avant d’adhérer à une association.
« Lorsqu’on est animé par la solidarité, on vise le bien de l’ensemble et on ne regarde plus ses intérêts personnels mais, on regarde l’intérêt de l’autre », a-t-il indiqué, expliquant que cet acte débouche forcement sur la cohésion sociale.
Selon M. N’Goran, les associations existant peuvent contribuer à la réconciliation nationale si les membres féd&egra ve;rent leurs idées et les mettent au service du groupe en vue de maintenir la paix et la cohésion sociale.
« Les associations sont facteurs de cohésion sociale et de paix, surtout quand c’est les femmes qui décident », a-t-il affirmé, invitant les femmes à unir leurs forces pour participer au développement de la région.
Créée en 2007, l’AFABO revendique près de 200 femmes. L’association œuvre pour le bien être et l’entraide de ses membres en permettant aux femmes d’accéder à des activités génératrices de revenus.
(AIP)
Zaar/akn/ask
Cette conférence s’inscrit dans le cadre des activités de l’AFABO dont l’objectif est de faire comprendre les avantages à s’adhérer à une association et de rendre hommage aux femmes Ayaou de Bouaflé.
Selon le conférencier, N’Goran Alexis, directeur régional de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (SFFE), la femme doit être animée d’un esprit de solidarité avant d’adhérer à une association.
« Lorsqu’on est animé par la solidarité, on vise le bien de l’ensemble et on ne regarde plus ses intérêts personnels mais, on regarde l’intérêt de l’autre », a-t-il indiqué, expliquant que cet acte débouche forcement sur la cohésion sociale.
Selon M. N’Goran, les associations existant peuvent contribuer à la réconciliation nationale si les membres féd&egra ve;rent leurs idées et les mettent au service du groupe en vue de maintenir la paix et la cohésion sociale.
« Les associations sont facteurs de cohésion sociale et de paix, surtout quand c’est les femmes qui décident », a-t-il affirmé, invitant les femmes à unir leurs forces pour participer au développement de la région.
Créée en 2007, l’AFABO revendique près de 200 femmes. L’association œuvre pour le bien être et l’entraide de ses membres en permettant aux femmes d’accéder à des activités génératrices de revenus.
(AIP)
Zaar/akn/ask