Abidjan - Les autotests de dépistage du VIH sont en vente depuis mardi dans toutes les pharmacies de France pour faciliter le dépistage mais surtout pour toucher les personnes qui échappent au dépistage.
Avec la mise en vente de l'autotest de dépistage chacun pourra donc désormais savoir, depuis chez lui, s'il est affecté par le virus du sida, précise-t-on.
Néanmoins, Il existe une limite à l'autotest. S'il est fiable à 99%, so n efficacité n'est pas assurée en cas de contamination récente, c'est à dire inférieure à 3 mois, un résultat négatif peut alors être considéré comme trompeur car le virus n'a peut-être pas eu le temps de stimuler suffisamment la production d'anticorps.
En cas de risque de contamination très récente (moins de 48 heures), il est conseillé de consulter un médecin et de suivre éventuellement un "traitement post-exposition" pour bloquer rapidement la multiplication du virus.
Le kit qui fournit une réponse entre 15 et 30 minutes est seulement valable pour le sida et ne permet pas dépister les autres infections sexuellement transmissibles ou les hépatites virales.
En France, 30.000 à 50.000 personnes ignorent être porteuses de la maladie, note-t-on.
(A IP)
sdaf/kam
Avec la mise en vente de l'autotest de dépistage chacun pourra donc désormais savoir, depuis chez lui, s'il est affecté par le virus du sida, précise-t-on.
Néanmoins, Il existe une limite à l'autotest. S'il est fiable à 99%, so n efficacité n'est pas assurée en cas de contamination récente, c'est à dire inférieure à 3 mois, un résultat négatif peut alors être considéré comme trompeur car le virus n'a peut-être pas eu le temps de stimuler suffisamment la production d'anticorps.
En cas de risque de contamination très récente (moins de 48 heures), il est conseillé de consulter un médecin et de suivre éventuellement un "traitement post-exposition" pour bloquer rapidement la multiplication du virus.
Le kit qui fournit une réponse entre 15 et 30 minutes est seulement valable pour le sida et ne permet pas dépister les autres infections sexuellement transmissibles ou les hépatites virales.
En France, 30.000 à 50.000 personnes ignorent être porteuses de la maladie, note-t-on.
(A IP)
sdaf/kam