Une quarantaine de participants représentant 16 pays et 18 fonds de protection de l’environnement prennent part de lundi à mardi à Abidjan, à la 5 ème édition de l’assemblée générale du Consortium africain des fonds environnementaux (CAFE), qui se tient autour du thème « mécanisme financier au-delà du financement traditionnel ».
Ces travaux ont pour objectif d’examiner les composantes de la gestion efficace des relations avec les principaux partenaires actuels et potentiels des fonds environnementaux ainsi que d’explorer des options pour de nouvelles sources de financement et d’investissement.
Les discussions porteront également sur les stratégies pour aligner les besoins de financement à long terme suivant les objectifs des fonds environnementaux.
A l’ouverture des échanges, la représentante du ministre de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable, Kaba Nasséré, a relevé que la gestion des activités relatives à la protection de l’environnement a un coût qui nécessite la mutualisation des efforts de tous les pays.
« C’est en travaillant ensemble dans la mutualisation de nos efforts et de nos moyens, dans un cadre cohérent que les impacts seront significatifs et durables (…).Seul on peut réussir peut-être, mais ensemble on réussit toujours », a souligné pour sa part le président du Conseil de d’administration de la Fondation pour les parcs et réserves de la Côte d’Ivoire (FPRCI), N’doumi Bernard.
Le CAFE a été créé en septembre 2011 en Tanzanie. Il comporte actuellement 17 fonds issus de 13 pays africains. Il a pour mission de construire une communauté apprenante d’acteurs qui partagent les meilleures pratiques et mettent en œuvre des mécanismes de financement novateurs pour encourager la conservation, la gestion de l’environnement et le développement durable en Afrique.
L’assemblée générale est l’activité la plus importante du réseau. Pour cette édition 2015, c’est la Fondation pour les parcs et réserves de la Côte d’Ivoire (FPRCI) qui est l’institution hôte.
Plusieurs sous-thème seront développés notamment, le changement et les défis du développement ainsi que la gestion durable des investissements.
(AIP)
Ces travaux ont pour objectif d’examiner les composantes de la gestion efficace des relations avec les principaux partenaires actuels et potentiels des fonds environnementaux ainsi que d’explorer des options pour de nouvelles sources de financement et d’investissement.
Les discussions porteront également sur les stratégies pour aligner les besoins de financement à long terme suivant les objectifs des fonds environnementaux.
A l’ouverture des échanges, la représentante du ministre de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable, Kaba Nasséré, a relevé que la gestion des activités relatives à la protection de l’environnement a un coût qui nécessite la mutualisation des efforts de tous les pays.
« C’est en travaillant ensemble dans la mutualisation de nos efforts et de nos moyens, dans un cadre cohérent que les impacts seront significatifs et durables (…).Seul on peut réussir peut-être, mais ensemble on réussit toujours », a souligné pour sa part le président du Conseil de d’administration de la Fondation pour les parcs et réserves de la Côte d’Ivoire (FPRCI), N’doumi Bernard.
Le CAFE a été créé en septembre 2011 en Tanzanie. Il comporte actuellement 17 fonds issus de 13 pays africains. Il a pour mission de construire une communauté apprenante d’acteurs qui partagent les meilleures pratiques et mettent en œuvre des mécanismes de financement novateurs pour encourager la conservation, la gestion de l’environnement et le développement durable en Afrique.
L’assemblée générale est l’activité la plus importante du réseau. Pour cette édition 2015, c’est la Fondation pour les parcs et réserves de la Côte d’Ivoire (FPRCI) qui est l’institution hôte.
Plusieurs sous-thème seront développés notamment, le changement et les défis du développement ainsi que la gestion durable des investissements.
(AIP)