Bondoukou - En prélude à la deuxième campagne de vaccination contre la poliomyélite prévue du 02 au 05 octobre au profit des enfants de 0 à 59 mois, des leaders d’opinion, des directeurs et chefs de service de Bondoukou ont été sensibilisés, mardi, pour la mobilisation des ménages, en vue d’une large couverture vaccinale.
"La poliomyélite est une infection virale très contagieuse qui se manifeste par des paralysies. L’enfant n’arrive pas à marcher, à se mouvoir", a expliqué le directeur départemental de la Santé de Bondoukou, Dr Beda Bertin, qui a souligné que la vaccination constitue la seule stratégie pour prévenir cette maladie.
La Côte d’Ivoire n’a pas enregistré de cas de poliomyélite depuis 2012 grâce aux efforts conjugués du gouvernement et de ses partenaires, a-t-il soutenu, exprimant ses attentes pour la réussite de cette campagne de vaccination.
"Ce que nous voulons et ce que nous attendons des parents, c’est de faire en sorte que cette campagne réussisse. Nous voulons que nos parents sortent les enfants lorsque l es vaccinateurs arrivent dans les ménages, afin qu’ils soient vaccinés", a indiqué Dr Beda.
Le directeur régional de la Santé et de la lutte contre le sida de Bondoukou, Dr Zougouri Blé Blaise a dit l’importance de la vaccination contre la poliomyélite qui touche principalement les enfants et qui entraine chez eux une paralysie irréversible.
Il a dit compter sur le soutien des leaders d’opinion, des directeurs et chefs de service, de tous pour lutter efficacement contre cette maladie dans le district du Zanzan.
Par ailleurs, il a, au nom de la tutelle, exhorté les populations à continuer d’observer les mesures préventives contre la fièvre Ebola qui est encore présente dans certains pays de l’Afrique de l’Ouest.
"Notre pays est engagé dans un plan stratégique de lutte cont re la poliomyélite. Un plan qui prend en compte 2013 jusqu’en 2018. Nous sommes sur la bonne voie mais nous devons rester vigilants", a souligné le secrétaire général 2 de la préfecture de Bondoukou, Kamena Kré Etienne.
Il a demandé aux leaders d’opinion, aux directeurs et chefs de service de relayer l’information auprès des ménages, afin que cette opération connaisse un franc succès.
"S’il y a la résistance, force sera à la loi", a prévenu M. Kamena, les parents qui refuseraient de faire vacciner leurs enfants.
ns/akn/ask
"La poliomyélite est une infection virale très contagieuse qui se manifeste par des paralysies. L’enfant n’arrive pas à marcher, à se mouvoir", a expliqué le directeur départemental de la Santé de Bondoukou, Dr Beda Bertin, qui a souligné que la vaccination constitue la seule stratégie pour prévenir cette maladie.
La Côte d’Ivoire n’a pas enregistré de cas de poliomyélite depuis 2012 grâce aux efforts conjugués du gouvernement et de ses partenaires, a-t-il soutenu, exprimant ses attentes pour la réussite de cette campagne de vaccination.
"Ce que nous voulons et ce que nous attendons des parents, c’est de faire en sorte que cette campagne réussisse. Nous voulons que nos parents sortent les enfants lorsque l es vaccinateurs arrivent dans les ménages, afin qu’ils soient vaccinés", a indiqué Dr Beda.
Le directeur régional de la Santé et de la lutte contre le sida de Bondoukou, Dr Zougouri Blé Blaise a dit l’importance de la vaccination contre la poliomyélite qui touche principalement les enfants et qui entraine chez eux une paralysie irréversible.
Il a dit compter sur le soutien des leaders d’opinion, des directeurs et chefs de service, de tous pour lutter efficacement contre cette maladie dans le district du Zanzan.
Par ailleurs, il a, au nom de la tutelle, exhorté les populations à continuer d’observer les mesures préventives contre la fièvre Ebola qui est encore présente dans certains pays de l’Afrique de l’Ouest.
"Notre pays est engagé dans un plan stratégique de lutte cont re la poliomyélite. Un plan qui prend en compte 2013 jusqu’en 2018. Nous sommes sur la bonne voie mais nous devons rester vigilants", a souligné le secrétaire général 2 de la préfecture de Bondoukou, Kamena Kré Etienne.
Il a demandé aux leaders d’opinion, aux directeurs et chefs de service de relayer l’information auprès des ménages, afin que cette opération connaisse un franc succès.
"S’il y a la résistance, force sera à la loi", a prévenu M. Kamena, les parents qui refuseraient de faire vacciner leurs enfants.
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