Abidjan - L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) rendra public, mardi, son dernier rapport annuel sur la situation mondiale de l’alimentation et de l’agriculture (SOFA), mettant l’accent, cette année , sur les avantages que peuvent procurer les programmes de protection sociale dans le cadre de la lutte contre la faim et la pauvreté dans les pays en développement.
Selon un communiqué dont l’AIP a reçu copie lundi, la présentation du document se fera à l’occasion d’une conférence de presse qui sera animée au siège de la FAO, à Rome, par le directeur général de la FAO, José Graziano da Silva aui aura à ses côtés Jomo Kwame Sundaram, Sous-directeur général et coordonnateur de la Division du développement économique et social de l’Organisation.
Les programmes de protection sociale, explique-t-on, jouent un rôle prédominant dans la lutte contre la faim et la pauvreté à travers le monde. Il s’agit notamment des repas scolaires, des travaux publics, des transferts d’argent et des pensions, mentionne la note d’information de la FAO, relevant que ceux-ci contribuent à améliorer la nutrition infantile et les résultats scolaires, et à réduire le travail des enfants, tout en stimulant l'activité économique.
Toutefois, se demande le rapport, est-ce que les pays pauvres peuvent se permettre des programmes de protection sociale dont jouit une personne sur trois seulement au sein des populations pauvres.
"Comment de tels programmes doivent être conçus de manière à promouvoir une croissance économique inclusive, améliorer les moyens d’existence et contribuer à l’éradication de la faim", s’interrogent également les rédacteurs de ce rapport.
(AIP)
kp
Selon un communiqué dont l’AIP a reçu copie lundi, la présentation du document se fera à l’occasion d’une conférence de presse qui sera animée au siège de la FAO, à Rome, par le directeur général de la FAO, José Graziano da Silva aui aura à ses côtés Jomo Kwame Sundaram, Sous-directeur général et coordonnateur de la Division du développement économique et social de l’Organisation.
Les programmes de protection sociale, explique-t-on, jouent un rôle prédominant dans la lutte contre la faim et la pauvreté à travers le monde. Il s’agit notamment des repas scolaires, des travaux publics, des transferts d’argent et des pensions, mentionne la note d’information de la FAO, relevant que ceux-ci contribuent à améliorer la nutrition infantile et les résultats scolaires, et à réduire le travail des enfants, tout en stimulant l'activité économique.
Toutefois, se demande le rapport, est-ce que les pays pauvres peuvent se permettre des programmes de protection sociale dont jouit une personne sur trois seulement au sein des populations pauvres.
"Comment de tels programmes doivent être conçus de manière à promouvoir une croissance économique inclusive, améliorer les moyens d’existence et contribuer à l’éradication de la faim", s’interrogent également les rédacteurs de ce rapport.
(AIP)
kp
