L’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, en Tanzanie, en Haïti et en Argentine ainsi que le référendum constitutionnel au Congo fait de ce dimanche 25 octobre, une journée électorale.
En Côte d'Ivoire plus de 6,3 millions d'électeurs ivoiriens sur 23 millions d'habitants, sont appelés aux urnes pour élire le Président de la République parmi sept candidats, dans un scrutin jugé crucial pour la stabilisation du pays, après la sanglante crise postélectorale de 2010-2011, qui a fait plus de 3000 morts.
"Cette élection est considérée comme celle de la sortie définitive de crise (...)", a affirmé samedi, le Président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko, en charge de l'organisation du scrutin. L'ouverture des bureaux fixée à 7 h00 heure locale et Gmt, a démarré avec en moyenne une heure de retard dans plusieurs bureaux de vote. La clôture est fixée à 17 h00 heure locale et Gmt.
Huit candidats sont en lice pour succéder au président tanzanien Jakaya Kikwete, au pouvoir depuis 2005 et qui ne peut briguer un troisième mandat selon la Constitution.
Son parti, le Chama Cha Mapindunzi (CCM, Parti de la Révolution) qui rythme la vie politique tanzanienne depuis une cinquante ans, a choisi l'ancien ministre des travaux publics, John Mafuguli pour défendre ses couleurs.
En Haïti, près de 6 millions d'électeurs iront aux urnes pour le premier tour de l'élection présidentielle avec un record de candidats. 54, au total, en lice pour succéder à Michel Martelly, l'actuel président.
Outre le président de la République, les Haïtiens sont, également, appelés à élire leurs députés, sénateurs et maires. Ce pays de la Caraïbe n'avait pas organisé d'élection depuis l'arrivée au pouvoir de Michel Martelly en mai 2011.
L'élection présidentielle argentine de ce dimanche 25 octobre mettra fin à douze ans de pouvoir de la présidente, Mme Kirchner (2003-2012).
La Constitution ne permettait pas à Mme Kirchner de briguer un troisième mandat consécutif. Le scrutin s'annonce serré parmi les trois principaux candidats dont Mauricio Macri, le maire de droite de Buenos Aires.
Au Congo, le référendum constitutionnel voulu par le président Denis Sassou Nguesso a lieu ce dimanche. Le vote a démarré timidement. Si le projet de nouvelle loi fondamentale est adopté le président Sassou (72 ans) et au pouvoir depuis 30 ans pourrait se représenter à la présidentielle prévue à la mi-2016.
HS/ls/APA
En Côte d'Ivoire plus de 6,3 millions d'électeurs ivoiriens sur 23 millions d'habitants, sont appelés aux urnes pour élire le Président de la République parmi sept candidats, dans un scrutin jugé crucial pour la stabilisation du pays, après la sanglante crise postélectorale de 2010-2011, qui a fait plus de 3000 morts.
"Cette élection est considérée comme celle de la sortie définitive de crise (...)", a affirmé samedi, le Président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko, en charge de l'organisation du scrutin. L'ouverture des bureaux fixée à 7 h00 heure locale et Gmt, a démarré avec en moyenne une heure de retard dans plusieurs bureaux de vote. La clôture est fixée à 17 h00 heure locale et Gmt.
Huit candidats sont en lice pour succéder au président tanzanien Jakaya Kikwete, au pouvoir depuis 2005 et qui ne peut briguer un troisième mandat selon la Constitution.
Son parti, le Chama Cha Mapindunzi (CCM, Parti de la Révolution) qui rythme la vie politique tanzanienne depuis une cinquante ans, a choisi l'ancien ministre des travaux publics, John Mafuguli pour défendre ses couleurs.
En Haïti, près de 6 millions d'électeurs iront aux urnes pour le premier tour de l'élection présidentielle avec un record de candidats. 54, au total, en lice pour succéder à Michel Martelly, l'actuel président.
Outre le président de la République, les Haïtiens sont, également, appelés à élire leurs députés, sénateurs et maires. Ce pays de la Caraïbe n'avait pas organisé d'élection depuis l'arrivée au pouvoir de Michel Martelly en mai 2011.
L'élection présidentielle argentine de ce dimanche 25 octobre mettra fin à douze ans de pouvoir de la présidente, Mme Kirchner (2003-2012).
La Constitution ne permettait pas à Mme Kirchner de briguer un troisième mandat consécutif. Le scrutin s'annonce serré parmi les trois principaux candidats dont Mauricio Macri, le maire de droite de Buenos Aires.
Au Congo, le référendum constitutionnel voulu par le président Denis Sassou Nguesso a lieu ce dimanche. Le vote a démarré timidement. Si le projet de nouvelle loi fondamentale est adopté le président Sassou (72 ans) et au pouvoir depuis 30 ans pourrait se représenter à la présidentielle prévue à la mi-2016.
HS/ls/APA