Yamoussoukro - Le bilan de la maladie mystérieuse survenue samedi dans le village de Kami (Yamoussoukro) a été porté à cinq morts mercredi, après le décès des trois enfants reçus au service de réanimation au centre hospitalier régional (CHR) de Yamoussoukro.
"La maladie non encore identifiée se manifeste par des convulsions, des vomissements, la raideur avant de plonger la victime dans un état comateux puis la mort", a expliqu&eacu te; le directeur régional de la santé de Yamoussoukro, Dr Gaston Tra.
Il a indiqué que les enfants décédés étaient atteints d’une toxicité avancée qui pourrait être des pesticides de désherbage.
"Sur les 13 cas au total admis, un seul est encore hospitalisé et n’inspire pas inquiétude. Les autres ont été stabilisés", a rassuré Dr Tra, rencontré mercredi dans le village de Kami où une équipe médicale dirigée par le directeur départemental de la Santé, Dr Léhé Bi Lucien, s'est installée.
Elle procède à des consultations foraines, vaccine et déparasite systématiquement tous les enfants âgés de zéros à dix ans.
Le directeur régional de la Santé a saisi l&rsq uo;occasion pour demander aux populations de Kami de respecter les mesures d’hygiène alimentaire et corporelle, d’aseptisation autour des maisons et de faire en sorte le désherbage ne soit pas fait avec des pesticides.
(AIP)
nam/cmas
"La maladie non encore identifiée se manifeste par des convulsions, des vomissements, la raideur avant de plonger la victime dans un état comateux puis la mort", a expliqu&eacu te; le directeur régional de la santé de Yamoussoukro, Dr Gaston Tra.
Il a indiqué que les enfants décédés étaient atteints d’une toxicité avancée qui pourrait être des pesticides de désherbage.
"Sur les 13 cas au total admis, un seul est encore hospitalisé et n’inspire pas inquiétude. Les autres ont été stabilisés", a rassuré Dr Tra, rencontré mercredi dans le village de Kami où une équipe médicale dirigée par le directeur départemental de la Santé, Dr Léhé Bi Lucien, s'est installée.
Elle procède à des consultations foraines, vaccine et déparasite systématiquement tous les enfants âgés de zéros à dix ans.
Le directeur régional de la Santé a saisi l&rsq uo;occasion pour demander aux populations de Kami de respecter les mesures d’hygiène alimentaire et corporelle, d’aseptisation autour des maisons et de faire en sorte le désherbage ne soit pas fait avec des pesticides.
(AIP)
nam/cmas