Un atelier sur l’analyse de la viabilité de la dette (AVD) ivoirienne s’est ouvert, hier, à l’hôtel du Sud, à Grand-Bassam. Il s’agit, cinq jours durant, pour le secrétariat technique du Comité national de la dette publique, de produire un rapport d’analyse de viabilité de la dette publique tenant compte de l’orientation générale en matière de croissance économique et d’investissements publics, en cohérence avec le Pnd 2016-2020.
Le directeur de cabinet, Adama Coulibaly, représentant la ministre de l’Economie et des Finances, a rappelé que le Pnd 2016-2020 va nécessiter un financement plus important que le précédent Plan national de développement. Des ressources devront être recherchées sur le marché financier régional et international, mais également auprès des bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux. Comment éviter d’arriver à un surendettement qui risque de freiner tous les efforts de développement entrepris par le gouvernement ? Pour Adama Coulibaly, fort heureusement qu’un projet de stratégie de gestion de la dette à moyen terme (SDMT 2016-2020) a été élaborée récemment, qui propose des orientations importantes en matière d’endettement et de gestion de la dette publique. «La SDMT 2016-2020 permettra de satisfaire les besoins de financement de l’Etat ainsi que ses obligations de paiement et de s’assurer que ses objectifs de maîtrise des coûts et des risques seront atteints afin d’éviter à terme un surendettement», a-t-il indiqué. Toujours selon lui, en conformité avec l’analyse de la viabilité de la dette, il s’agit pour la SDMT 2016-2020 d’évaluer le risque global d’endettement en comparant un certain nombre d’indicateurs par rapport à leurs seuils et points de référence applicables aux pays, en fonction de la qualité de leurs politiques et institutions.
Quant au directeur de la Dette, Coulibaly Jules, il a indiqué que la réalisation de l’AVD constitue une priorité nationale, en ce sens qu’elle permet de conforter le Pnd 2016-2020 et de s’assurer que les ressources d’emprunts attendues dans le cadre de cet ambitieux programme ne vont pas compromettre la viabilité à terme de la dette publique.
J-S LIA
Le directeur de cabinet, Adama Coulibaly, représentant la ministre de l’Economie et des Finances, a rappelé que le Pnd 2016-2020 va nécessiter un financement plus important que le précédent Plan national de développement. Des ressources devront être recherchées sur le marché financier régional et international, mais également auprès des bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux. Comment éviter d’arriver à un surendettement qui risque de freiner tous les efforts de développement entrepris par le gouvernement ? Pour Adama Coulibaly, fort heureusement qu’un projet de stratégie de gestion de la dette à moyen terme (SDMT 2016-2020) a été élaborée récemment, qui propose des orientations importantes en matière d’endettement et de gestion de la dette publique. «La SDMT 2016-2020 permettra de satisfaire les besoins de financement de l’Etat ainsi que ses obligations de paiement et de s’assurer que ses objectifs de maîtrise des coûts et des risques seront atteints afin d’éviter à terme un surendettement», a-t-il indiqué. Toujours selon lui, en conformité avec l’analyse de la viabilité de la dette, il s’agit pour la SDMT 2016-2020 d’évaluer le risque global d’endettement en comparant un certain nombre d’indicateurs par rapport à leurs seuils et points de référence applicables aux pays, en fonction de la qualité de leurs politiques et institutions.
Quant au directeur de la Dette, Coulibaly Jules, il a indiqué que la réalisation de l’AVD constitue une priorité nationale, en ce sens qu’elle permet de conforter le Pnd 2016-2020 et de s’assurer que les ressources d’emprunts attendues dans le cadre de cet ambitieux programme ne vont pas compromettre la viabilité à terme de la dette publique.
J-S LIA