Les dirigeants de pays européens et africains réunis jeudi à Valetta ont convenu d’un plan d’action pour faire face à la crise des réfugiés, lors d’un sommet Europe - Afrique de deux jours sur les migrations.
Ce plan d’action a été bâti autour de cinq domaines prioritaires, comprenant le règlement des causes profondes des migration illicites et des déplacements forcés, la migration légale et la mobilité, la protection et le droit d’asile, la lutte contre le trafic d’êtres humains, et les politiques de retour, de réinstallation et de réintégration.
Ce plan d’action de 17 pages compte 16 initiatives prioritaires qui seront lancées avant la fin 2016.
Les dirigeants ont convenu de former des projets pilote regroupant les offres d’immigration légale pour le travail, les études, la recherche et la formation professionnelle entre certains États membres de l’UE ou pays associés et certains pays africains.
Par ailleurs des ateliers sur la facilitation des visas seront organisés.
Ce plan d’action promet aussi l’établissement ou l’amélioration des législations nationales et régionales contre le trafic et la contrebande, dans les pays d’origine, de transit comme de destination.
"Nous nous engageons à régler les causes profondes des migrations et des déplacements forcés résultant de la fragilité des États et de l’insécurité, ainsi que des tendances démographiques, économiques et environnementales", ont affirmé les représentants dans une déclaration politique publiée peu après la clôture de cette réunion jeudi soir.
D’après ce plan d’action, des financements européens substantiels seront mis à disposition à cette fin. L’UE, les États-membres et les pays associés intensifieront leurs efforts pour prendre en compte les migrations dans leur coopération de développement.
En parallèle, un fonds d’urgence de l’UE pour faire face aux migrations et aux déplacements de populations, créé plus tôt jeudi en marge de ce sommet, fournira des financements additionels pour un action flexible, rapide et efficace de l’aide et une meilleure gestion des migrations.
De plus, la Banque européenne d’investissement, en coopération avec ses partenaires africains, la Commission européenne et les autres institutions financières, peut fournir un financement pour soutenir une croissance économique autonome et le développement du capital humain.
Le sommet de Valletta a été organisé les 11 et 12 novembre et a réuni quelque 63 chefs d’État et de gouvernement. Un grand nombre d’organisations régionales et internationales ont également participé à ce sommet.
Ce plan d’action a été bâti autour de cinq domaines prioritaires, comprenant le règlement des causes profondes des migration illicites et des déplacements forcés, la migration légale et la mobilité, la protection et le droit d’asile, la lutte contre le trafic d’êtres humains, et les politiques de retour, de réinstallation et de réintégration.
Ce plan d’action de 17 pages compte 16 initiatives prioritaires qui seront lancées avant la fin 2016.
Les dirigeants ont convenu de former des projets pilote regroupant les offres d’immigration légale pour le travail, les études, la recherche et la formation professionnelle entre certains États membres de l’UE ou pays associés et certains pays africains.
Par ailleurs des ateliers sur la facilitation des visas seront organisés.
Ce plan d’action promet aussi l’établissement ou l’amélioration des législations nationales et régionales contre le trafic et la contrebande, dans les pays d’origine, de transit comme de destination.
"Nous nous engageons à régler les causes profondes des migrations et des déplacements forcés résultant de la fragilité des États et de l’insécurité, ainsi que des tendances démographiques, économiques et environnementales", ont affirmé les représentants dans une déclaration politique publiée peu après la clôture de cette réunion jeudi soir.
D’après ce plan d’action, des financements européens substantiels seront mis à disposition à cette fin. L’UE, les États-membres et les pays associés intensifieront leurs efforts pour prendre en compte les migrations dans leur coopération de développement.
En parallèle, un fonds d’urgence de l’UE pour faire face aux migrations et aux déplacements de populations, créé plus tôt jeudi en marge de ce sommet, fournira des financements additionels pour un action flexible, rapide et efficace de l’aide et une meilleure gestion des migrations.
De plus, la Banque européenne d’investissement, en coopération avec ses partenaires africains, la Commission européenne et les autres institutions financières, peut fournir un financement pour soutenir une croissance économique autonome et le développement du capital humain.
Le sommet de Valletta a été organisé les 11 et 12 novembre et a réuni quelque 63 chefs d’État et de gouvernement. Un grand nombre d’organisations régionales et internationales ont également participé à ce sommet.
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