Abidjan - Le Next Einstein Forum (NEF), une initiative de l'African Institute for Mathematical Sciences (AIMS) en partenariat avec la Fondation Robert Bosch, a publié mercredi la cohorte 2015/2016 de boursiers du NEF, soit douze des meilleurs scientifiques et technologues africains de moins de 42 ans, travaillant en Afrique et à travers le monde.
Au cœur de la vision du NEF de propulser l'Afrique sur la scène scientifique mondiale, les boursiers du NEF présenteront leurs recherches lors de la Rencont re internationale du NEF qui aura lieu du 8 au 10 mars 2016, à Dakar, au Sénégal, sous le patronage du Président Macky Sall.
Projetant le reflet de la jeune population africaine, 50 % des participants de la Rencontre Internationale du NEF de 2016 auront moins de 42 ans et le NEF mettra également en lumière les contributions des femmes scientifiques, rapporte African Media Agency (AMA).
«Nous sommes convaincus que les jeunes scientifiques sélectionnés, parmi les meilleurs scientifiques africains de moins de 42 ans, sont la preuve que l'on assiste à une renaissance scientifique sur le continent et que l'Afr ique est en train de se repositionner internationalement en termes d'innovation », a affirmé M. Thierry Zomahoun, Président et PDG de l'AIMS et Président du NEF.
Les boursiers du NEF de 2015/2016 sont Noble Banadda (Ouganda), Joseph Ben Geloun (Sénégal), Mouhamed Moustapha Fall (Sénégal), Evelyn Gitau (Kenya), Assane Gueye (Sénégal), Mohlopheni Jackson Marakalala (Afrique du Sud), Wilfred Ndifon (Cameroun), Hallowed Olaoluwa (Nigeria), Tolu Oni (Nigeria), Axel Ngonga (Cameroun), Alta Schutte (Afrique du Sud) et Komminist Weldemariam (Éthiopie).
Les bou rsiers du NEF ont été sélectionnés à travers un processus rigoureux qui examine leurs qualifications universitaires et scientifiques reconnues par un Doctorat dans le domaine des STIM, des sciences sociales ou de la technologie, un solide registre de publications, de brevets, de récompenses, et sur leurs capacités à collecter des fonds destinés à leurs recherches de façon indépendante.
Les boursiers doivent également démontrer la pertinence et l'impact de leurs recherches/innovations sur la société et aussi faire preuve de motivation à accroître la visibilité scientifique de l'Afrique.
cmas
Au cœur de la vision du NEF de propulser l'Afrique sur la scène scientifique mondiale, les boursiers du NEF présenteront leurs recherches lors de la Rencont re internationale du NEF qui aura lieu du 8 au 10 mars 2016, à Dakar, au Sénégal, sous le patronage du Président Macky Sall.
Projetant le reflet de la jeune population africaine, 50 % des participants de la Rencontre Internationale du NEF de 2016 auront moins de 42 ans et le NEF mettra également en lumière les contributions des femmes scientifiques, rapporte African Media Agency (AMA).
«Nous sommes convaincus que les jeunes scientifiques sélectionnés, parmi les meilleurs scientifiques africains de moins de 42 ans, sont la preuve que l'on assiste à une renaissance scientifique sur le continent et que l'Afr ique est en train de se repositionner internationalement en termes d'innovation », a affirmé M. Thierry Zomahoun, Président et PDG de l'AIMS et Président du NEF.
Les boursiers du NEF de 2015/2016 sont Noble Banadda (Ouganda), Joseph Ben Geloun (Sénégal), Mouhamed Moustapha Fall (Sénégal), Evelyn Gitau (Kenya), Assane Gueye (Sénégal), Mohlopheni Jackson Marakalala (Afrique du Sud), Wilfred Ndifon (Cameroun), Hallowed Olaoluwa (Nigeria), Tolu Oni (Nigeria), Axel Ngonga (Cameroun), Alta Schutte (Afrique du Sud) et Komminist Weldemariam (Éthiopie).
Les bou rsiers du NEF ont été sélectionnés à travers un processus rigoureux qui examine leurs qualifications universitaires et scientifiques reconnues par un Doctorat dans le domaine des STIM, des sciences sociales ou de la technologie, un solide registre de publications, de brevets, de récompenses, et sur leurs capacités à collecter des fonds destinés à leurs recherches de façon indépendante.
Les boursiers doivent également démontrer la pertinence et l'impact de leurs recherches/innovations sur la société et aussi faire preuve de motivation à accroître la visibilité scientifique de l'Afrique.
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