Suite à leur marche du jeudi 19 novembre 2015 pour soutenir la France et les victimes des terroristes , des députés ivoiriens sont sous le feu des critiques. Des langues se lèvent pour dire qu’ils ont fait deux poids, deux mesures en faisant une marche pour la France et non pour le Nigeria qui est depuis longtemps la cible de Boko Haram.
Joint Soro Kanigui, deputé de Sirasso a indiqué que lui et ses pairs n’ont pas commis d’injustice : " Je ne pense pas qu’on ait fait deux poids, deux mesures. Nous avons marché parce que cette question est éminemment d’actualité. Dans le cours de la vie , les idées viennent à chaque fois. Rien ne dit qu’il n’y aura pas d’autres initiatives en faveur d’autres victimes , même si on ne souhaite pas qu’il continue d’y avoir des victimes. À travers la marche, il ne faut pas voir seulement la France. Il faut aussi voir le combat contre le terrorisme de façon générale. Il faut voir un engagement de l’Assemblée nationale ivoirienne contre toutes formes de violences. Peut-être que les victimes de la France ne sont qu’un prétexte. Maintenant on prendra les dispositions pour qu’on tienne compte des observations d’autres opinions ».
> Pour sa part, la député de Tafiré Mah Sogona Bamba a répondu à ses détracteurs sur sa page facebook : « Tu me calcules, je te calcule. Quand c’est chaud sur nous ce n’est pas le Nigeria que nous regardons d’abord et ce n’est pas le Nigeria qui nous regarde. C’est bel et bien la France...Nous dirons Yako d’abord à ceux avec qui nous sommes fortement liés par l’histoire, la langue et l’économie...Si c’est une affaire d’être proches vous devriez nous dire d’aller adresser notre yako pour Ebola à la Guinée et le Liberia. D’abord parce qu’avec eux nous partageons une frontière mais pas avec le Nigeria....Et quand notre Assemblée Nationale avait brûlé, l’ambassade du Nigeria était toujours notre voisin mais c’est la France qui nous a aidés à sa réhabilitation...vraiment polémiquer pour polémiquer? ».
T.A.B
Joint Soro Kanigui, deputé de Sirasso a indiqué que lui et ses pairs n’ont pas commis d’injustice : " Je ne pense pas qu’on ait fait deux poids, deux mesures. Nous avons marché parce que cette question est éminemment d’actualité. Dans le cours de la vie , les idées viennent à chaque fois. Rien ne dit qu’il n’y aura pas d’autres initiatives en faveur d’autres victimes , même si on ne souhaite pas qu’il continue d’y avoir des victimes. À travers la marche, il ne faut pas voir seulement la France. Il faut aussi voir le combat contre le terrorisme de façon générale. Il faut voir un engagement de l’Assemblée nationale ivoirienne contre toutes formes de violences. Peut-être que les victimes de la France ne sont qu’un prétexte. Maintenant on prendra les dispositions pour qu’on tienne compte des observations d’autres opinions ».
> Pour sa part, la député de Tafiré Mah Sogona Bamba a répondu à ses détracteurs sur sa page facebook : « Tu me calcules, je te calcule. Quand c’est chaud sur nous ce n’est pas le Nigeria que nous regardons d’abord et ce n’est pas le Nigeria qui nous regarde. C’est bel et bien la France...Nous dirons Yako d’abord à ceux avec qui nous sommes fortement liés par l’histoire, la langue et l’économie...Si c’est une affaire d’être proches vous devriez nous dire d’aller adresser notre yako pour Ebola à la Guinée et le Liberia. D’abord parce qu’avec eux nous partageons une frontière mais pas avec le Nigeria....Et quand notre Assemblée Nationale avait brûlé, l’ambassade du Nigeria était toujours notre voisin mais c’est la France qui nous a aidés à sa réhabilitation...vraiment polémiquer pour polémiquer? ».
T.A.B