La Côte d’Ivoire dispose désormais d’une stratégie nationale et d’un plan national de lutte contre la traite des personnes, des documents officiellement remis lundi à Abidjan au cours d’une cérémonie officielle organisée en présence des ministres Hamed Bakayoko, représentant le Premier ministre Kablan Duncan, la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto ainsi que des partenaires au projet.
"Voici enfin la Côte d’Ivoire dotée d’instruments stratégiques venant compléter le projet de loi portant lutte contre la traite des personnes qui sera très bientôt adopté par l’Assemblée Nationale", a commenté le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité. Il a mis en relief l’engagement du gouvernement à œuvrer pour mettre fin à cette nouvelle forme d’esclavage.
"Le gouvernement de la Côte d’Ivoire, par ma voix, voudrait d’ores et déjà vous rassurer, quant à sa détermination à relever le défi que lance la communauté humaine, cet esclavage des temps modernes qu’est la traite des personnes", a insisté Hamed Bakayoko.
Se faisant échos du préjudice causé à la communauté nationale par ce fléau, la ministre Anne Ouloto a soutenu que le pays travaille à l’endiguer. "Notre pays, du fait des soubresauts politiques enregistrés, a fini par devenir un terreau fertile qui voit éclore et s’amplifier ce fléau de la traite des personnes sous diverses formes. La Côte d’Ivoire, consciente de l’ampleur du phénomène, s’est engagée à travers des actions majeures, à l’éradiquer ou à l’atténuer significativement", a-t-elle indiqué.
Depuis 2011, la Côte d’Ivoire a pris une forte position dans la lutte contre ce phénomène. Le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, le ministère du Plan et du Développement, en liaison avec l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et le Centre international pour le développement des politiques migratoires (ICMPD) par le biais du programme migration UE expertise (MIEUX), ont entrepris l’élaboration d’une stratégie nationale de lutte contre la traite des personnes.
gak/cmas
"Voici enfin la Côte d’Ivoire dotée d’instruments stratégiques venant compléter le projet de loi portant lutte contre la traite des personnes qui sera très bientôt adopté par l’Assemblée Nationale", a commenté le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité. Il a mis en relief l’engagement du gouvernement à œuvrer pour mettre fin à cette nouvelle forme d’esclavage.
"Le gouvernement de la Côte d’Ivoire, par ma voix, voudrait d’ores et déjà vous rassurer, quant à sa détermination à relever le défi que lance la communauté humaine, cet esclavage des temps modernes qu’est la traite des personnes", a insisté Hamed Bakayoko.
Se faisant échos du préjudice causé à la communauté nationale par ce fléau, la ministre Anne Ouloto a soutenu que le pays travaille à l’endiguer. "Notre pays, du fait des soubresauts politiques enregistrés, a fini par devenir un terreau fertile qui voit éclore et s’amplifier ce fléau de la traite des personnes sous diverses formes. La Côte d’Ivoire, consciente de l’ampleur du phénomène, s’est engagée à travers des actions majeures, à l’éradiquer ou à l’atténuer significativement", a-t-elle indiqué.
Depuis 2011, la Côte d’Ivoire a pris une forte position dans la lutte contre ce phénomène. Le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, le ministère du Plan et du Développement, en liaison avec l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et le Centre international pour le développement des politiques migratoires (ICMPD) par le biais du programme migration UE expertise (MIEUX), ont entrepris l’élaboration d’une stratégie nationale de lutte contre la traite des personnes.
gak/cmas