A l’initiative de l’Institut national des Administrateurs de Côte d’Ivoire (INAD-CI), un atelier de formation sur le nouveau code du travail et de gestion des entreprises, promulgué cette année et qui vient en remplacement de celui de 1995, a été organisé le vendredi 27 novembre dernier à Cocody.
Selon l’administrateur de l’INAD-CI, Aka Sayé Lazare, représentant madame Viviane Zunon KIPRÉ présidente de l’institut « ce nouveau code du travail développe plus de justice que celui de 1995 », en ce sens « qu’il entoure le travailleur salarié du secteur privé d’un mécanisme de protection plus efficace ».
Ce nouveau code du travail prend en compte la question de l’emploi des jeunes et des personnes en situation d’handicap, des femmes, du renforcement du contrôle de la loi du travail, renforcement du cadre juridique et syndical, a expliqué Aka Sayé Lazare.
« Nous sommes en train de découvrir ce nouveau code qui protège aussi bien le travailleur que l’employeur. C’est le résultat du dialogue entre le Gouvernement, les employeurs et les syndicats », a-t-il ajouté. Le nouveau code du travail consacre un compromis entre les acteurs sociaux à savoir le patronat et les travailleurs pour un retour vers une règlementation voulue par le patronat, a expliqué Paul Arnaud Bertin Zohoury, expert a la banque mondiale pour le foncier et l’immobilier. « Le code de 2015 fera que le patronat aura satisfaction, la possibilité ne leur sera plus donnée de licencier a tout vent. C’est un compromis juste », a-t-il conclu.
Mar Mao, président de la Commission sociale, formation et emploi de la CGECI formateur du jour a expliqué dans les détails les nouvelles règles du code de travail. Tel qu’il est promulgué, le nouveau code du travail organise la vie dans l’entreprise en répartissant les pouvoirs, les droits et les obligations entre les travailleurs, a-t-il dit. « Le code de 2015 arrive a un équilibre consensuel des droits et obligations. Les parties prenantes sont satisfaites du code », a-t-il révélé.
L’INAD-CI travaille à la promotion de la bonne gouvernance par la professionnalisation du métier d’administrateur pour une meilleure gouvernance d’entreprise.
Elisée B.
Selon l’administrateur de l’INAD-CI, Aka Sayé Lazare, représentant madame Viviane Zunon KIPRÉ présidente de l’institut « ce nouveau code du travail développe plus de justice que celui de 1995 », en ce sens « qu’il entoure le travailleur salarié du secteur privé d’un mécanisme de protection plus efficace ».
Ce nouveau code du travail prend en compte la question de l’emploi des jeunes et des personnes en situation d’handicap, des femmes, du renforcement du contrôle de la loi du travail, renforcement du cadre juridique et syndical, a expliqué Aka Sayé Lazare.
« Nous sommes en train de découvrir ce nouveau code qui protège aussi bien le travailleur que l’employeur. C’est le résultat du dialogue entre le Gouvernement, les employeurs et les syndicats », a-t-il ajouté. Le nouveau code du travail consacre un compromis entre les acteurs sociaux à savoir le patronat et les travailleurs pour un retour vers une règlementation voulue par le patronat, a expliqué Paul Arnaud Bertin Zohoury, expert a la banque mondiale pour le foncier et l’immobilier. « Le code de 2015 fera que le patronat aura satisfaction, la possibilité ne leur sera plus donnée de licencier a tout vent. C’est un compromis juste », a-t-il conclu.
Mar Mao, président de la Commission sociale, formation et emploi de la CGECI formateur du jour a expliqué dans les détails les nouvelles règles du code de travail. Tel qu’il est promulgué, le nouveau code du travail organise la vie dans l’entreprise en répartissant les pouvoirs, les droits et les obligations entre les travailleurs, a-t-il dit. « Le code de 2015 arrive a un équilibre consensuel des droits et obligations. Les parties prenantes sont satisfaites du code », a-t-il révélé.
L’INAD-CI travaille à la promotion de la bonne gouvernance par la professionnalisation du métier d’administrateur pour une meilleure gouvernance d’entreprise.
Elisée B.
