Le monde est bien placé pour éliminer l’épidémie de sida d’ici à 2030, à condition d’accélérer le rythme des progrès accomplis lors des 15 dernières années, notamment en généralisant le recours aux traitements antirétroviraux (ART), affirme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un nouveau rapport.
Beaucoup a déjà été accompli, souligne ce rapport, puisque, cette année, l’un des Objectifs du millénaire pour le développement, consistant à stopper la progression du sida et faire globalement reculer la maladie, a été atteint.
A la fin de 2014, le nombre de décès annuels dus au VIH, le virus responsable du sida, avait été réduit de 42% - d’un pic de plus de 2 millions en 2004 à environ 1,2 million.
On estime que depuis 2000, 7,8 millions de vies ont été sauvées, le nombre de nouvelles infections est en baisse et l’objectif d’une élimination de l’épidémie d’ici à 2030 – naguère considéré comme inaccessible par de nombreux experts – est désormais réaliste, selon ce rapport intitulé La réponse du secteur de la santé au VIH à l’échelle mondiale de 2000 à 2015 (Global Health Sector Response to HIV 2000-2015).
L’expansion rapide de l’accès aux thérapies antirétrovirales (ART), qui sont l’une des plus grandes réussites de ces dernières années en matière de santé publique, a rendu ce genre de traitement disponible pour plus de 16 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde. Aujourd’hui, plus de 11 millions de personnes vivant dans la région Afrique de l’OMS reçoivent un traitement contre le VIH, contre environ 11.000 il y a 15 ans, soit une multiplication par mille.
Cependant, davantage doit encore être fait, souligne le rapport. A travers le monde, 60% des personnes vivant avec le VIH ne sont toujours pas inscrites pour recevoir un traitement antirétroviral.
« Au cours des 15 dernières années, les nouvelles infections par le VIH ont été réduites de 41% dans la région Afrique, soit plus que dans toutes les autres régions du monde », a déclaré le Dr. Matshidiso Moeti, Directeur régional de l’OMS pour l’Afrique. « Mais le nombre de personnes qui contractent le virus VIH est encore trop élevé et les jeunes femmes et les adolescentes continuent d’être exposées au risque de manière disproportionnée. »
Les conclusions de récents essais cliniques ont confirmé qu’un recours prompt et systématique aux traitements antirétroviraux (ART) permet de sauver des vies en maintenant en meilleure santé les personnes vivant avec le VIH et en réduisant le risque qu’elles transmettent le virus à des partenaires.
En septembre, cette confirmation a conduit l’OMS à recommander que toutes les personnes vivant avec le VIH entament un traitement aux ART dès que possible après leur diagnostic.
Beaucoup a déjà été accompli, souligne ce rapport, puisque, cette année, l’un des Objectifs du millénaire pour le développement, consistant à stopper la progression du sida et faire globalement reculer la maladie, a été atteint.
A la fin de 2014, le nombre de décès annuels dus au VIH, le virus responsable du sida, avait été réduit de 42% - d’un pic de plus de 2 millions en 2004 à environ 1,2 million.
On estime que depuis 2000, 7,8 millions de vies ont été sauvées, le nombre de nouvelles infections est en baisse et l’objectif d’une élimination de l’épidémie d’ici à 2030 – naguère considéré comme inaccessible par de nombreux experts – est désormais réaliste, selon ce rapport intitulé La réponse du secteur de la santé au VIH à l’échelle mondiale de 2000 à 2015 (Global Health Sector Response to HIV 2000-2015).
L’expansion rapide de l’accès aux thérapies antirétrovirales (ART), qui sont l’une des plus grandes réussites de ces dernières années en matière de santé publique, a rendu ce genre de traitement disponible pour plus de 16 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde. Aujourd’hui, plus de 11 millions de personnes vivant dans la région Afrique de l’OMS reçoivent un traitement contre le VIH, contre environ 11.000 il y a 15 ans, soit une multiplication par mille.
Cependant, davantage doit encore être fait, souligne le rapport. A travers le monde, 60% des personnes vivant avec le VIH ne sont toujours pas inscrites pour recevoir un traitement antirétroviral.
« Au cours des 15 dernières années, les nouvelles infections par le VIH ont été réduites de 41% dans la région Afrique, soit plus que dans toutes les autres régions du monde », a déclaré le Dr. Matshidiso Moeti, Directeur régional de l’OMS pour l’Afrique. « Mais le nombre de personnes qui contractent le virus VIH est encore trop élevé et les jeunes femmes et les adolescentes continuent d’être exposées au risque de manière disproportionnée. »
Les conclusions de récents essais cliniques ont confirmé qu’un recours prompt et systématique aux traitements antirétroviraux (ART) permet de sauver des vies en maintenant en meilleure santé les personnes vivant avec le VIH et en réduisant le risque qu’elles transmettent le virus à des partenaires.
En septembre, cette confirmation a conduit l’OMS à recommander que toutes les personnes vivant avec le VIH entament un traitement aux ART dès que possible après leur diagnostic.