La 21ème Conférence de l’ONU pour lutter contre les changements climatiques (COP21) se tient actuellement à Paris jusqu’au 11 décembre prochain. La présidente de l’Agence pour la Valorisation de l’Agriculture (AVA), Jennifer CERES, comme à ses habitudes, prend part à cet autre rendez-vous historique hautement impactant sur l’Agriculture, son centre d’intérêt.
Les conséquences néfastes des changements climatiques n’épargnent aucune partie de la planète terre. Ce qui explique la mobilisation à Paris de tous les décideurs du monde. Si les pays développés disposent de mécanismes aidant à amoindrir par moments ces effets, ce n’est pas le cas pour le continent africain qui les subit littéralement.
Au haut niveau, les gouvernements plaident pour davantage de moyens en vue d’aider le continent noir à lutter contre le réchauffement climatique. L’idée est pertinente certes, mais d’autres solutions existent. Car les experts conviennent que l’Agriculture constitue l’un des principaux leviers pour lutter contre ce phénomène. L’on note par exemple que les sols du monde contiennent 1500 milliards de tonnes de carbone sous forme de matières organiques.
Raison pour laquelle « il convient de responsabiliser désormais les paysans dans les politiques de protection de l’environnement » recommande la présidente de l’AVA, Jennifer CERES.
Depuis paris, celle qui a épousé la cause dumonde rural, tire la sonnette d’alarme : « les acteurs de premier rang doivent être les paysans dans ce combat de survie qu’est la protection de l’environnement. Il faut qu’en exploitant la forêt, l’agriculteur ne le détruise pas mais soit plutôt un vecteur du développement durable »
Et Jennifer ne fait pas du tout du tourisme au pays de De Gaulle. D’autant qu’à la COP21, l’Agriculture et la forêt sont en première ligne pour le climat. Et le fait qu’elle soit reconnue comme personnalité de la société civile suffisamment imprégnée des réalités du monde agricole, lui octroie une place de choix dans les panels.
La présentatrice de l’émission télévisée ‘’Brave paysan’’ attache vraiment du prix à la question de l’environnement. Convaincue que l’essor de l’Agriculture passe incontestablement par un environnement favorable à sa pratique.
L’initiatrice des Journées Nationales de Valorisation de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques (JNVA) est d’ailleurs au diapason de l’actualité. Le thème de la 6èmeédition des JNVA prévue pour se tenir en 2016 à San Pedro y est consacré : « L’Agriculture ivoirienne face aux défis de l’environnement et du développement durable. »
Soulignons pour se donner des arguments solides dans son plaidoyer au bénéfice des ‘’braves paysans’’ ivoiriens, la patronne de l’AVA ne manque aucun rendez-vous abordant la question de l’Agriculture. Salon International de Paris (SIA), Salon de l’automobile, pour ne citer que ces plateformes internationales, figurent dans son agenda depuis des années.
Marius Aka Fils
Les conséquences néfastes des changements climatiques n’épargnent aucune partie de la planète terre. Ce qui explique la mobilisation à Paris de tous les décideurs du monde. Si les pays développés disposent de mécanismes aidant à amoindrir par moments ces effets, ce n’est pas le cas pour le continent africain qui les subit littéralement.
Au haut niveau, les gouvernements plaident pour davantage de moyens en vue d’aider le continent noir à lutter contre le réchauffement climatique. L’idée est pertinente certes, mais d’autres solutions existent. Car les experts conviennent que l’Agriculture constitue l’un des principaux leviers pour lutter contre ce phénomène. L’on note par exemple que les sols du monde contiennent 1500 milliards de tonnes de carbone sous forme de matières organiques.
Raison pour laquelle « il convient de responsabiliser désormais les paysans dans les politiques de protection de l’environnement » recommande la présidente de l’AVA, Jennifer CERES.
Depuis paris, celle qui a épousé la cause dumonde rural, tire la sonnette d’alarme : « les acteurs de premier rang doivent être les paysans dans ce combat de survie qu’est la protection de l’environnement. Il faut qu’en exploitant la forêt, l’agriculteur ne le détruise pas mais soit plutôt un vecteur du développement durable »
Et Jennifer ne fait pas du tout du tourisme au pays de De Gaulle. D’autant qu’à la COP21, l’Agriculture et la forêt sont en première ligne pour le climat. Et le fait qu’elle soit reconnue comme personnalité de la société civile suffisamment imprégnée des réalités du monde agricole, lui octroie une place de choix dans les panels.
La présentatrice de l’émission télévisée ‘’Brave paysan’’ attache vraiment du prix à la question de l’environnement. Convaincue que l’essor de l’Agriculture passe incontestablement par un environnement favorable à sa pratique.
L’initiatrice des Journées Nationales de Valorisation de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques (JNVA) est d’ailleurs au diapason de l’actualité. Le thème de la 6èmeédition des JNVA prévue pour se tenir en 2016 à San Pedro y est consacré : « L’Agriculture ivoirienne face aux défis de l’environnement et du développement durable. »
Soulignons pour se donner des arguments solides dans son plaidoyer au bénéfice des ‘’braves paysans’’ ivoiriens, la patronne de l’AVA ne manque aucun rendez-vous abordant la question de l’Agriculture. Salon International de Paris (SIA), Salon de l’automobile, pour ne citer que ces plateformes internationales, figurent dans son agenda depuis des années.
Marius Aka Fils