Abidjan - En prélude à la célébration, jeudi, des 50 ans de la Charte internationale des droits de l’homme, énonçant les droits civils, politiques, culturels, économiques et sociaux de tous les humains, l’ONG "Citoyens & participations (CIVIS-CI)", a initié, mercredi, à Abidjan, une conférence autour de la problématique des droits de l’Homme dans un contexte de crise internationale de la migration et de lutte contre le terrorisme.
Son thème "Nos droits, nos libertés, toujours : quelles réalités dans un contexte de crise internationale de la migration et de lutte contre le terrorisme" s’inscrit dans le cadre de la campagne "Nos droits. Nos libertés. Toujours" qui vise à promouvoir et sensibiliser, durant l’année 2016 aux deux Pactes qui fêtent leur 50ème anniversaire, à savoir le Pacte international rel atif aux droits civils et politiques et le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, qui ont été adoptés par l’Assemblée générale de l’ONU le 16 décembre 1966.
Au cours de cette rencontre il a été passé en revue les notions de droits de l’homme, de migration, de terrorisme et de lutte antiterroriste, afin de voir de quelle manière la migration et le terrorisme peuvent mettre à mal les droits de l’homme.
Pour l’association Citoyens & Participation (CIVIS-CI), le Gouvernement devrait veiller à la conformité de la législation antiterroriste avec ses obligations régionales et internationales en matière de droits de l’homme au regard de l’impact des migrations et du terrorisme sur les droits de l’homme.
Quant à la communauté inte rnationale et les partenaires techniques et financiers, les ressources normalement consacrées aux programmes sociaux de réduction de la pauvreté (comme l’éducation, la santé, l’eau et l’assainissement) et l’aide au développement ne devraient pas être réaffectées au secteur de la sécurité pour lutter contre l’immigration irrégulière et le terrorisme.
De même, la société civile devrait intensifier le plaidoyer auprès du Gouvernement, de la communauté internationale et des institutions spécialisées de l’ONU en charge de la migration et de la lutte contre le terrorisme (Organisation Internationale de la Migration, Comité contre le Terrorisme) pour l’assistance et la prise en charge de toutes les victimes du terrorisme et des migrants.
sdaf/ask
Son thème "Nos droits, nos libertés, toujours : quelles réalités dans un contexte de crise internationale de la migration et de lutte contre le terrorisme" s’inscrit dans le cadre de la campagne "Nos droits. Nos libertés. Toujours" qui vise à promouvoir et sensibiliser, durant l’année 2016 aux deux Pactes qui fêtent leur 50ème anniversaire, à savoir le Pacte international rel atif aux droits civils et politiques et le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, qui ont été adoptés par l’Assemblée générale de l’ONU le 16 décembre 1966.
Au cours de cette rencontre il a été passé en revue les notions de droits de l’homme, de migration, de terrorisme et de lutte antiterroriste, afin de voir de quelle manière la migration et le terrorisme peuvent mettre à mal les droits de l’homme.
Pour l’association Citoyens & Participation (CIVIS-CI), le Gouvernement devrait veiller à la conformité de la législation antiterroriste avec ses obligations régionales et internationales en matière de droits de l’homme au regard de l’impact des migrations et du terrorisme sur les droits de l’homme.
Quant à la communauté inte rnationale et les partenaires techniques et financiers, les ressources normalement consacrées aux programmes sociaux de réduction de la pauvreté (comme l’éducation, la santé, l’eau et l’assainissement) et l’aide au développement ne devraient pas être réaffectées au secteur de la sécurité pour lutter contre l’immigration irrégulière et le terrorisme.
De même, la société civile devrait intensifier le plaidoyer auprès du Gouvernement, de la communauté internationale et des institutions spécialisées de l’ONU en charge de la migration et de la lutte contre le terrorisme (Organisation Internationale de la Migration, Comité contre le Terrorisme) pour l’assistance et la prise en charge de toutes les victimes du terrorisme et des migrants.
sdaf/ask