Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé, mercredi à Abidjan, en faveur du Tchad, un don du Fonds africain de développement (FAD, guichet concessionnel) de 4,62 millions de dollars des Etats-Unis et un don du Fonds d’appui à la transition (FAT) de 13,72 millions de dollars.
Le montant cumulé des financements de 18,34 million de dollars est destiné au Projet d’appui aux réformes des finances publiques (PARFIP), annonce un communiqué de presse de la BAD publié jeudi. Le PARFIP vise à contribuer au renforcement de l’efficacité de la dépense publique et de la transparence budgétaire afin de réduire les inégalités sociales.
Le Tchad a atteint le point d’achèvement de l’initiative Pays Pauvres Très Endettés (PPTE) en avril 2015. Cette performance reflète l’engagement des autorités tchadiennes à stimuler le développement économique afin de réduire la pauvreté depuis la fin du conflit résultant de l’accord de paix signé au Soudan en 2010 Le Tchad a connu une performance économique solide ces dernières années avec un taux de croissance réel d’environ 7,2% entre 2012 et 2014.
Cependant, cette embellie a été fragilisée par la baisse drastique du cours du pétrole dans la seconde moitié de 2014 et par les conséquences notamment budgétaires de la crise sécuritaire sous-régionale. Le Gouvernement a en outre entrepris la mise en œuvre de son plan national de développement (mai 2013) qui vise à réduire les inégalités sociales et l’incidence de la pauvreté.
Le taux d’inflation pourrait se situer au-delà de la norme communautaire fixée en Zone CEMAC à 3% à cause des difficultés d’approvisionnement des marchés en produits de grande consommation liées aux perturbations sur les circuits de commercialisation entre le Tchad et les pays voisins dans le contexte de la crise sécuritaire régionale. (1$ = 600 FCFA)
cmas
Le montant cumulé des financements de 18,34 million de dollars est destiné au Projet d’appui aux réformes des finances publiques (PARFIP), annonce un communiqué de presse de la BAD publié jeudi. Le PARFIP vise à contribuer au renforcement de l’efficacité de la dépense publique et de la transparence budgétaire afin de réduire les inégalités sociales.
Le Tchad a atteint le point d’achèvement de l’initiative Pays Pauvres Très Endettés (PPTE) en avril 2015. Cette performance reflète l’engagement des autorités tchadiennes à stimuler le développement économique afin de réduire la pauvreté depuis la fin du conflit résultant de l’accord de paix signé au Soudan en 2010 Le Tchad a connu une performance économique solide ces dernières années avec un taux de croissance réel d’environ 7,2% entre 2012 et 2014.
Cependant, cette embellie a été fragilisée par la baisse drastique du cours du pétrole dans la seconde moitié de 2014 et par les conséquences notamment budgétaires de la crise sécuritaire sous-régionale. Le Gouvernement a en outre entrepris la mise en œuvre de son plan national de développement (mai 2013) qui vise à réduire les inégalités sociales et l’incidence de la pauvreté.
Le taux d’inflation pourrait se situer au-delà de la norme communautaire fixée en Zone CEMAC à 3% à cause des difficultés d’approvisionnement des marchés en produits de grande consommation liées aux perturbations sur les circuits de commercialisation entre le Tchad et les pays voisins dans le contexte de la crise sécuritaire régionale. (1$ = 600 FCFA)
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