La Coordination des greffiers de Côte d’Ivoire a décidé vendredi de reconduire sa grève entamée mardi, pour cinq jours afin d’exiger la signature d’un décret qui prévoit de nouvelles primes dont celle de logements, à l’issue d’une assemblée générale à Abidjan.
"Nous avons décidé de poursuivre la grève, mais cette fois-ci, c’est un mot d’ordre de cinq jours à compter de lundi renouvelable par tacite reconduction", a déclaré Me Abel Boli Bi Youant, président de la Coordination des greffiers de Côte d’Ivoire, un démembrement de l’Union nationale des greffiers de Côte d’Ivoire (Coord-Unagci).
M. Boli a dit avoir déposé un préavis au ministère de la Justice avec ampliation à la Présidence de la république, à la Primature et au ministère de la Fonction publique.
De mardi à jeudi des greffiers ivoiriens ont observé un arrêt de travail pour exiger la signature du décret voté par assemblée nationale ivoirienne le 3 juillet 2015 octroyant certaines indemnités dont celles de logements, responsabilité et de sujétion à leur corporation.
Le président de la Coordination des greffiers de Côte d’Ivoire pour qui "il n’y a aucun obstacle à la signature du décret voté par l’Assemblée nationale", dit n’avoir "entamé aucune discussion" avec le gouvernement.
Le 27 janvier, la Coordination avait observé un arrêt de travail de trois jours pour demander l’application d’une ordonnance présidentielle de 2008 portant sur le statut des greffiers.
ABL
"Nous avons décidé de poursuivre la grève, mais cette fois-ci, c’est un mot d’ordre de cinq jours à compter de lundi renouvelable par tacite reconduction", a déclaré Me Abel Boli Bi Youant, président de la Coordination des greffiers de Côte d’Ivoire, un démembrement de l’Union nationale des greffiers de Côte d’Ivoire (Coord-Unagci).
M. Boli a dit avoir déposé un préavis au ministère de la Justice avec ampliation à la Présidence de la république, à la Primature et au ministère de la Fonction publique.
De mardi à jeudi des greffiers ivoiriens ont observé un arrêt de travail pour exiger la signature du décret voté par assemblée nationale ivoirienne le 3 juillet 2015 octroyant certaines indemnités dont celles de logements, responsabilité et de sujétion à leur corporation.
Le président de la Coordination des greffiers de Côte d’Ivoire pour qui "il n’y a aucun obstacle à la signature du décret voté par l’Assemblée nationale", dit n’avoir "entamé aucune discussion" avec le gouvernement.
Le 27 janvier, la Coordination avait observé un arrêt de travail de trois jours pour demander l’application d’une ordonnance présidentielle de 2008 portant sur le statut des greffiers.
ABL