Abidjan - Le Comité national de surveillance de la lutte contre les pires formes du travail des enfants en Côte d’Ivoire (CNS) a présenté son nouveau plan d’action 2015-2017 portant sur la prévention, la protection, la répression et le suivi-évaluation.
Ce plan d’action, d’un coût de 12 milliards de FCFA, a pour but de réduire de manière significative l’exploitation des enfants en Côte d’Ivoire, en vulgarisant les textes sur l’exploitation des enfants et en intensifiant les campagnes de sensibilisation à travers des films et des documentaires pour lutter contre la traite des enfants.
Ce plan prévoit également la construction de plusieurs infrastructures scolaires, le renforcement de la coopération sous-régionale et le soutien des activités génératrices de revenus.
Ce plan d’action, a indiqué la directrice du cabinet de la Première dame, Patricia Sylvie Yao, aura pour but de vulgariser le numéro vert pour secourir les enfants en détresse, de construire deux maisons à Ferkessédougou et à Soubré pour les enfants victimes d’exploitation, et de réaliser une enquête pour identifier le nombre d’enfants victimes des pires forme de travail en Côte d’Ivoire.
Au cours de sa présentation, Mme Yao a rappelé les résultats du plan 2012-2014 qui a permis la réalisation de plusieurs actions, entre autres, le décret instituant la création du Parlement des enfants en vue de promouvoir les droits des enfants en Côte d’Ivoire, la signature d’un arrêté pour déterminer la liste des travaux dangereux pour les enfants, la campagne de sensibilisation de sept langues, la réalisation d’infrastructures scolaires, la mise en service d’un numéro vert d’assistance, le renforcement des capacités des producteurs de la filière café-cacao, de la police et la gendarmerie nationales, et le financement des activités génératrices de revenus.
Ces actions, selon la directrice de cabinet de la Première dame, ont favorisé à la Côte d’Ivoire de situer, selon le critère du département américain, dans la catégorie 2 des pays faisant des efforts.
Sdaf/kp
Ce plan d’action, d’un coût de 12 milliards de FCFA, a pour but de réduire de manière significative l’exploitation des enfants en Côte d’Ivoire, en vulgarisant les textes sur l’exploitation des enfants et en intensifiant les campagnes de sensibilisation à travers des films et des documentaires pour lutter contre la traite des enfants.
Ce plan prévoit également la construction de plusieurs infrastructures scolaires, le renforcement de la coopération sous-régionale et le soutien des activités génératrices de revenus.
Ce plan d’action, a indiqué la directrice du cabinet de la Première dame, Patricia Sylvie Yao, aura pour but de vulgariser le numéro vert pour secourir les enfants en détresse, de construire deux maisons à Ferkessédougou et à Soubré pour les enfants victimes d’exploitation, et de réaliser une enquête pour identifier le nombre d’enfants victimes des pires forme de travail en Côte d’Ivoire.
Au cours de sa présentation, Mme Yao a rappelé les résultats du plan 2012-2014 qui a permis la réalisation de plusieurs actions, entre autres, le décret instituant la création du Parlement des enfants en vue de promouvoir les droits des enfants en Côte d’Ivoire, la signature d’un arrêté pour déterminer la liste des travaux dangereux pour les enfants, la campagne de sensibilisation de sept langues, la réalisation d’infrastructures scolaires, la mise en service d’un numéro vert d’assistance, le renforcement des capacités des producteurs de la filière café-cacao, de la police et la gendarmerie nationales, et le financement des activités génératrices de revenus.
Ces actions, selon la directrice de cabinet de la Première dame, ont favorisé à la Côte d’Ivoire de situer, selon le critère du département américain, dans la catégorie 2 des pays faisant des efforts.
Sdaf/kp