Abidjan - La Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, a annoncé qu’elle va faire un plaidoyer auprès du Bureau international du travail (BIT), à Genève, en 2016, pour la redéfinition de la notion du travail des enfants.
« Je voudrais signaler que j’envisage de me rendre à Genève, dès le début de l’année 2016, pour rencontrer les responsables du BIT afin de redéfinir la notion d’enfants victimes des pires formes de travail des enfants », a déclaré Mme Dominique Ouattara, à l’occasion de la présentation, mardi, du programme d’action 2015-2017 du Comité national de surveillance de la lutte contre les pires formes de travail des enfants en Côte d’Ivoire (CNS).
Selon Dominique Ouattara, le BIT doit faire la différence entre les deux catégories de travail des enfants, à savoir les enfants victimes de la traite et de l’exploitation, et les enfants des paysans qui vont à l’école et rejoignent leurs parents après leurs heures de cours.
Le CNS s’est doté d’un nouveau programme d’action, d’un coût de 12 milliards de FCFA, pour la lutte contre le travail des enfants en Côte d’Ivoire.
Sdaf/kp
« Je voudrais signaler que j’envisage de me rendre à Genève, dès le début de l’année 2016, pour rencontrer les responsables du BIT afin de redéfinir la notion d’enfants victimes des pires formes de travail des enfants », a déclaré Mme Dominique Ouattara, à l’occasion de la présentation, mardi, du programme d’action 2015-2017 du Comité national de surveillance de la lutte contre les pires formes de travail des enfants en Côte d’Ivoire (CNS).
Selon Dominique Ouattara, le BIT doit faire la différence entre les deux catégories de travail des enfants, à savoir les enfants victimes de la traite et de l’exploitation, et les enfants des paysans qui vont à l’école et rejoignent leurs parents après leurs heures de cours.
Le CNS s’est doté d’un nouveau programme d’action, d’un coût de 12 milliards de FCFA, pour la lutte contre le travail des enfants en Côte d’Ivoire.
Sdaf/kp