La Jeune Chambre internationale d’Abidjan a organisé le samedi 26 décembre 2015 un arbre de Noël en faveur des enfants malades de l’ulcère de Buruli. L’activité s’est déroulée à l’Hôpital général de Taabo , qui abrite un centre de traitement de cette maladie.
Dans leurs allocutions, les autorités administratives de Taabo, en l’occurrence, le Secrétaire général de la préfecture, Lancina Dembélé, Diarra Néné, sous-préfet de Taabo et le 1er adjoint au Maire, Hubert Ahizi, ont tous remercié la présidente exécutive et les membres de la Jci Abidjan qui, les bras chargés, ont apporté un sourire dans la vie des enfants malades de l’ulcère de Buruli.
C’est tout heureux que ces derniers, en plus d’être égayés, ont reçu plus de 200 cadeaux composés de jouets et de tenues scolaires.
Les participants ont, en outre, assisté à une sensibilisation sur l’ulcère de Buruli faite par l’assistante sociale du Programme national de lutte contre l’ulcère de Buruli (Pnlub), sœur Jean Jerôme Tano qui, dénonçant la stigmatisation dont sont victimes ces jeunes malades, a insisté sur le caractère non contagieux de cette maladie et imploré le soutien des autorités politiques et des organisations caritatives. Pour une meilleure prise en charge des malades et surtout leur réinsertion dans le tissu socio-économique du pays.
Constant DOSSOU
Dans leurs allocutions, les autorités administratives de Taabo, en l’occurrence, le Secrétaire général de la préfecture, Lancina Dembélé, Diarra Néné, sous-préfet de Taabo et le 1er adjoint au Maire, Hubert Ahizi, ont tous remercié la présidente exécutive et les membres de la Jci Abidjan qui, les bras chargés, ont apporté un sourire dans la vie des enfants malades de l’ulcère de Buruli.
C’est tout heureux que ces derniers, en plus d’être égayés, ont reçu plus de 200 cadeaux composés de jouets et de tenues scolaires.
Les participants ont, en outre, assisté à une sensibilisation sur l’ulcère de Buruli faite par l’assistante sociale du Programme national de lutte contre l’ulcère de Buruli (Pnlub), sœur Jean Jerôme Tano qui, dénonçant la stigmatisation dont sont victimes ces jeunes malades, a insisté sur le caractère non contagieux de cette maladie et imploré le soutien des autorités politiques et des organisations caritatives. Pour une meilleure prise en charge des malades et surtout leur réinsertion dans le tissu socio-économique du pays.
Constant DOSSOU