Bouaké (Côte d’Ivoire) - Le bilan de l’incendie qui a ravagé la salle d’exposition et l’atelier de fabrication de la Coopérative de poterie du village de Tanou-Sakassou, situé à 10 km à l’Est de Bouaké (379 km au Nord d’Abidjan), fait état d’un important dégât matériel estimé à environ 30 millions de francs CFA, a appris APA sur place, samedi, auprès des responsables de cette unité de fabrication de poterie mondialement reconnue pour l’originalité de ses productions.
« Le bilan de l’incendie qui a ravagé notre salle d’exposition et notre atelier de fabrication fait état de plusieurs dégâts matériels que nous estimons à environ 30 millions de francs CFA » a déclaré à APA, Gada Yao Koffi, un membre de la coopérative de poterie de Tanou-Sakassou.
Selon lui, l’origine du feu qui a embrasé, mardi, la toiture en paille de la bâtisse de 12m2 avant de se propager sur la quasi-totalité du site reste à ce jour inconnue.
« Malgré l’intervention des sapeurs-pompiers de Bouaké rien n’a pu être sauvé ici » a-t-il regretté avant de lancer un appel à l’aide. « Nous sollicitons l’aide de toutes les bonnes volontés afin de permettre à l’ensemble des populations de Tanou-Sakassou de retrouver la joie de vivre car cette activité est l’une des principales sources de revenus de ce village », a conclu M. Koffi.
CK/ls/APA
« Le bilan de l’incendie qui a ravagé notre salle d’exposition et notre atelier de fabrication fait état de plusieurs dégâts matériels que nous estimons à environ 30 millions de francs CFA » a déclaré à APA, Gada Yao Koffi, un membre de la coopérative de poterie de Tanou-Sakassou.
Selon lui, l’origine du feu qui a embrasé, mardi, la toiture en paille de la bâtisse de 12m2 avant de se propager sur la quasi-totalité du site reste à ce jour inconnue.
« Malgré l’intervention des sapeurs-pompiers de Bouaké rien n’a pu être sauvé ici » a-t-il regretté avant de lancer un appel à l’aide. « Nous sollicitons l’aide de toutes les bonnes volontés afin de permettre à l’ensemble des populations de Tanou-Sakassou de retrouver la joie de vivre car cette activité est l’une des principales sources de revenus de ce village », a conclu M. Koffi.
CK/ls/APA