La pénurie d’eau à Tiassalé et à N’Douci est due à la vétusté des stations de pompage et de traitement du site de production d’eau de Tiassalé, explique le chef d’exploitation de la Société de distribution de l’eau en Côte d’ivoire (SODECI) dans le département, Yédé Nicodème.
Après que des populations de N’Douci sont venus protest er contre les pénuries d’eau dans leur localité chez le préfet de Tiassalé, M. Nicodème a invité celles-ci à une visite guidée du site de production de la SODECI de Tiassalé, afin de les éclairer sur les raisons de cette pénurie.
Selon la SODECI, ces coupures d’eau sont dues à la vétusté des stations de pompage et de traitement, installées depuis 1968. D’une capacité nominale de 130 mètres cube/heure, le débit réel de la station de pompage est de 80 mètres cube/heure, soit un gap de 50 mètres cube/heure. Après le traitement, 1700 mètres cube d’eau sont disponibles et distribués aux trois châteaux d’eau de N’Douci et de Tiassalé, pour des besoins estimés à 3500 mètres cubes /jour.
« Les pompes ont une p uissance de 40 mètres cube/heure (les pompes de secours en ont 25) pour les deux grands châteaux du lycée de Tiassalé et de N’Douci. Le château installé dans les locaux de la SODECI, le plus ancien, est à motricité unique, ce qui fait que la survenue d’une panne le met hors circuit », a-t-il regretté, relevant que la baisse du niveau du fleuve Bandama à cause de la saison sèche est aussi une cause de ce manque d’eau dans les robinets.
Pour résorber le déficit d’eau à Tiassalé et à N’Douci, la SODECI préconise l’installation de pompes d’une puissance d’au moins 80 mètres cube/heure pour les différents châteaux d’eau, et une augmentation de la capacité de la pompe de puisage dans le fleuve Bandama.
kd/yg//tad /akn/tm
Après que des populations de N’Douci sont venus protest er contre les pénuries d’eau dans leur localité chez le préfet de Tiassalé, M. Nicodème a invité celles-ci à une visite guidée du site de production de la SODECI de Tiassalé, afin de les éclairer sur les raisons de cette pénurie.
Selon la SODECI, ces coupures d’eau sont dues à la vétusté des stations de pompage et de traitement, installées depuis 1968. D’une capacité nominale de 130 mètres cube/heure, le débit réel de la station de pompage est de 80 mètres cube/heure, soit un gap de 50 mètres cube/heure. Après le traitement, 1700 mètres cube d’eau sont disponibles et distribués aux trois châteaux d’eau de N’Douci et de Tiassalé, pour des besoins estimés à 3500 mètres cubes /jour.
« Les pompes ont une p uissance de 40 mètres cube/heure (les pompes de secours en ont 25) pour les deux grands châteaux du lycée de Tiassalé et de N’Douci. Le château installé dans les locaux de la SODECI, le plus ancien, est à motricité unique, ce qui fait que la survenue d’une panne le met hors circuit », a-t-il regretté, relevant que la baisse du niveau du fleuve Bandama à cause de la saison sèche est aussi une cause de ce manque d’eau dans les robinets.
Pour résorber le déficit d’eau à Tiassalé et à N’Douci, la SODECI préconise l’installation de pompes d’une puissance d’au moins 80 mètres cube/heure pour les différents châteaux d’eau, et une augmentation de la capacité de la pompe de puisage dans le fleuve Bandama.
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