Plus de 7 mois après l’interdiction des produits éclaircissants contenant plus de 2% d’hydroquinone, Les utilisateurs des produits éclaircissants défient les autorités.
La dépigmentation est un véritable problème de santé publique. Pour sauvegarder la santé publique, le gouvernement ivoirien a annoncé le mercredi 29 avril 2015, l’interdiction des produits éclaircissants contenant plus de 2% d’hydroquinone. « Sont interdits des produits cosmétiques éclaircissant ou d’hygiène contenants de l’(hydroquinone au-delà du seuil de 2% qui est le seuil international admis, le mercure et ses dérivés, les corticoïdes, la vitamine A qui permettent de se dépigmenter la peau..tous ces produits sont interdits », avait indiqué Affoussiata Bamba Lamine, ministre de la communication et porte-parole adjoint du gouvernement au terme d’un conseil des ministres. Mais une visite sur certains marchés et centres de cosmétiques de la capitale économique ivoirienne hier, a permis de constater que des produits censés être interdits s’y trouvent toujours. Notamment les pommades, savons, laits, crèmes, injections, huiles contenant des corticoïdes, la vitamine A, l’hydroquinone. Les utilisateurs composés d’hommes, de femmes, de jeunes ne se font pas prier pour s’en servir. Et ce malgré le danger certains encouru. En effet selon des dermatologues, l’hydroquinone est un agent éclaircissant qui a un effet décapant et dangereux. Les conséquences de la dépigmentation sont multiples. Ce sont entre autres, les vergetures, le cancer de la peau, l’amincissement de la peau, les mycoses, les infections bactériennes, l’apparition d’acné, les problèmes de cicatrisation. Aussi la dépigmentation expose-t-elle les utilisateurs à l’hypertension artérielle, au diabète, et à des démangeaisons. Vivement que les autorités compétentes prennent des mesures draconiennes pour éradiquer ce fléau social
Rosemonde Kouadio
La dépigmentation est un véritable problème de santé publique. Pour sauvegarder la santé publique, le gouvernement ivoirien a annoncé le mercredi 29 avril 2015, l’interdiction des produits éclaircissants contenant plus de 2% d’hydroquinone. « Sont interdits des produits cosmétiques éclaircissant ou d’hygiène contenants de l’(hydroquinone au-delà du seuil de 2% qui est le seuil international admis, le mercure et ses dérivés, les corticoïdes, la vitamine A qui permettent de se dépigmenter la peau..tous ces produits sont interdits », avait indiqué Affoussiata Bamba Lamine, ministre de la communication et porte-parole adjoint du gouvernement au terme d’un conseil des ministres. Mais une visite sur certains marchés et centres de cosmétiques de la capitale économique ivoirienne hier, a permis de constater que des produits censés être interdits s’y trouvent toujours. Notamment les pommades, savons, laits, crèmes, injections, huiles contenant des corticoïdes, la vitamine A, l’hydroquinone. Les utilisateurs composés d’hommes, de femmes, de jeunes ne se font pas prier pour s’en servir. Et ce malgré le danger certains encouru. En effet selon des dermatologues, l’hydroquinone est un agent éclaircissant qui a un effet décapant et dangereux. Les conséquences de la dépigmentation sont multiples. Ce sont entre autres, les vergetures, le cancer de la peau, l’amincissement de la peau, les mycoses, les infections bactériennes, l’apparition d’acné, les problèmes de cicatrisation. Aussi la dépigmentation expose-t-elle les utilisateurs à l’hypertension artérielle, au diabète, et à des démangeaisons. Vivement que les autorités compétentes prennent des mesures draconiennes pour éradiquer ce fléau social
Rosemonde Kouadio