Mexico, DF - A l’occasion de la fête du nouvel an, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire près les Etats-unis Mexicains, SEM Abié O. Marcellin a convié les journalistes mexicains à un dîner débat à la Résidence de la Côte d’Ivoire autour du thème de politique extérieure, "coopération bilatérale Côte d’Ivoire-Mexique".
La trentaine de journalistes présents dont ceux de la télévision canal 11 (Chaîne de télévision publique) de la radio (Enfoque Radio) en FM, de la Télévision Digitale(SIEMPRE) et de la presse écrite ont eu droit à un exposé complet sur la Côte d’Ivoire, portant sur les secteurs de l’économie, politique, social, culturel, touristique, etc., présenté par Monsieur l’Ambassadeur.
Il s’agissait pour ces journalistes de découvrir à travers cette présentation la Côte d’Ivoire et éviter ainsi les préjugés qui existent bien souvent sur les pays africains.
Après cette présentation générale, un bref historique des relations diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et le Mexique a été fait. Établies le 13 novembre 1975, ces relations diplomatiques ont été concrétisées par l’ouverture en 1982 de l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Mexique, fermée en 1990 et recouverte en 2004.
Le bilan de ces relations révèle les accords signés entre les deux pays sur le plan politique d’une part, sur le plan culturel et éducatif d’autre part.
Ces relations concernent aussi des Accords signés avec des structures étatiques et même privées que sont la Chambre de Commerce de Côte d’Ivoire et la Chambre de Commerce de la Ville de Mexico d’un côté et de l’autre l’Apexci et Promexico.
La valeur totale des échanges pour l’année 2014 selon les statistiques du Ministère de l’Economie du Mexique est de 118.065.000 Dollars, soit 50.903.250.000 FCFA. La Côte d’Ivoire devient ainsi le 6e partenaire économique africain du Mexique.
La balance commerciale est excédentaire en faveur de la Côte d’Ivoire pour 100 millions de dollars. Cette valeur est considérée insuffisante compte tenu des potentialités économiques de chaque pays.
Les entreprises mexicaines importent principalement de la Côte d’Ivoire le cacao, le café, le bois et leurs dérivés, les graines et les fruits oléagineux, le bois d’iroko d’une épaisseur supérieure à 6 mm, le bois d’acajou, de l’essence, etc.
Les entreprises ivoiriennes de leur côté importent du Mexique divers produits dont les poissons, les crustacés et les mollusques, les automobiles, les machines pour le traitement des aliments, Pétrole brut, polymères d’éthylène bruts, les équipements pour l’industrie de sucre, le gasoil et ses dérivés, les produits pharmaceutiques, etc.
Au plan éducatif, une dizaine d’étudiants boursiers de l’Etat de San Luis Potosi poursuivent leurs études dans les universités publiques de l’Etat.
La communauté ivoirienne estimée à près de 80 personnes comprend un architecte, un Médecin Vétérinaire, un dentiste, des enseignants, des étudiants, etc.
Sur le plan culturel autant la musique que la gastronomie, les objets d’arts et d’artisanat ivoiriens sont bien appréciés par le public mexicain à travers la maison de la Côte d’Ivoire gérée par la Fondation Fatou Sylla en collaboration étroite avec l’Ambassade.
Après ce bref tour d’horizon, SEM Abié s’est prêté aux questions des journalistes portant sur la stratégie de promotion de la Côte d’Ivoire au Mexique, l’obstacle principal aux échanges entre les deux pays, la place de la Côte d’Ivoire dans la sous-région et l’état de la démocratie ivoirienne, etc.
En réponse à ces questions, l’Ambassadeur a insisté sur le climat de paix qui existe dans le pays après la crise post-électorale, surtout après les élections apaisées d’octobre 2015, la relance économique et les grands chantiers de développement actuellement en cours.
L’Ambassadeur a invité les journalistes mexicains à être le porte-voix de l’Ambassade auprès de la population mexicaine pour faire connaître la Côte d’Ivoire et emmener les mexicains à la découvrir et à y investir. Il a insisté sur la collaboration entre l’Ambassade et la presse mexicaine qui doit se faire plus fructueuse.
En conclusion des exposés, l’Ambassadeur a invité les journalistes mexicains à aller aux sources des informations sur la Côte d’Ivoire à travers le site de l’Ambassade et le site du gouvernement ivoirien d’une part et à travers leur participation à des activités régulières auxquelles désormais l’Ambassade envisage de les associer dont la plus importante constitue les journées ivoiriennes organisées depuis trois ans par l’Ambassade en collaboration avec le Sénat Mexicain.
Au lendemain de cet évènement, certains journalistes ont réalisé des interviews avec le diplomate ivoirien, dont Marta Duran, journaliste à « PROCESO » et correspondant de Radio Nederland à Mexico. L’interview a porté principalement sur l’économie du cacao en Côte d’Ivoire, produit né au Mexique dont la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial.
Le service de communication
La trentaine de journalistes présents dont ceux de la télévision canal 11 (Chaîne de télévision publique) de la radio (Enfoque Radio) en FM, de la Télévision Digitale(SIEMPRE) et de la presse écrite ont eu droit à un exposé complet sur la Côte d’Ivoire, portant sur les secteurs de l’économie, politique, social, culturel, touristique, etc., présenté par Monsieur l’Ambassadeur.
Il s’agissait pour ces journalistes de découvrir à travers cette présentation la Côte d’Ivoire et éviter ainsi les préjugés qui existent bien souvent sur les pays africains.
Après cette présentation générale, un bref historique des relations diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et le Mexique a été fait. Établies le 13 novembre 1975, ces relations diplomatiques ont été concrétisées par l’ouverture en 1982 de l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Mexique, fermée en 1990 et recouverte en 2004.
Le bilan de ces relations révèle les accords signés entre les deux pays sur le plan politique d’une part, sur le plan culturel et éducatif d’autre part.
Ces relations concernent aussi des Accords signés avec des structures étatiques et même privées que sont la Chambre de Commerce de Côte d’Ivoire et la Chambre de Commerce de la Ville de Mexico d’un côté et de l’autre l’Apexci et Promexico.
La valeur totale des échanges pour l’année 2014 selon les statistiques du Ministère de l’Economie du Mexique est de 118.065.000 Dollars, soit 50.903.250.000 FCFA. La Côte d’Ivoire devient ainsi le 6e partenaire économique africain du Mexique.
La balance commerciale est excédentaire en faveur de la Côte d’Ivoire pour 100 millions de dollars. Cette valeur est considérée insuffisante compte tenu des potentialités économiques de chaque pays.
Les entreprises mexicaines importent principalement de la Côte d’Ivoire le cacao, le café, le bois et leurs dérivés, les graines et les fruits oléagineux, le bois d’iroko d’une épaisseur supérieure à 6 mm, le bois d’acajou, de l’essence, etc.
Les entreprises ivoiriennes de leur côté importent du Mexique divers produits dont les poissons, les crustacés et les mollusques, les automobiles, les machines pour le traitement des aliments, Pétrole brut, polymères d’éthylène bruts, les équipements pour l’industrie de sucre, le gasoil et ses dérivés, les produits pharmaceutiques, etc.
Au plan éducatif, une dizaine d’étudiants boursiers de l’Etat de San Luis Potosi poursuivent leurs études dans les universités publiques de l’Etat.
La communauté ivoirienne estimée à près de 80 personnes comprend un architecte, un Médecin Vétérinaire, un dentiste, des enseignants, des étudiants, etc.
Sur le plan culturel autant la musique que la gastronomie, les objets d’arts et d’artisanat ivoiriens sont bien appréciés par le public mexicain à travers la maison de la Côte d’Ivoire gérée par la Fondation Fatou Sylla en collaboration étroite avec l’Ambassade.
Après ce bref tour d’horizon, SEM Abié s’est prêté aux questions des journalistes portant sur la stratégie de promotion de la Côte d’Ivoire au Mexique, l’obstacle principal aux échanges entre les deux pays, la place de la Côte d’Ivoire dans la sous-région et l’état de la démocratie ivoirienne, etc.
En réponse à ces questions, l’Ambassadeur a insisté sur le climat de paix qui existe dans le pays après la crise post-électorale, surtout après les élections apaisées d’octobre 2015, la relance économique et les grands chantiers de développement actuellement en cours.
L’Ambassadeur a invité les journalistes mexicains à être le porte-voix de l’Ambassade auprès de la population mexicaine pour faire connaître la Côte d’Ivoire et emmener les mexicains à la découvrir et à y investir. Il a insisté sur la collaboration entre l’Ambassade et la presse mexicaine qui doit se faire plus fructueuse.
En conclusion des exposés, l’Ambassadeur a invité les journalistes mexicains à aller aux sources des informations sur la Côte d’Ivoire à travers le site de l’Ambassade et le site du gouvernement ivoirien d’une part et à travers leur participation à des activités régulières auxquelles désormais l’Ambassade envisage de les associer dont la plus importante constitue les journées ivoiriennes organisées depuis trois ans par l’Ambassade en collaboration avec le Sénat Mexicain.
Au lendemain de cet évènement, certains journalistes ont réalisé des interviews avec le diplomate ivoirien, dont Marta Duran, journaliste à « PROCESO » et correspondant de Radio Nederland à Mexico. L’interview a porté principalement sur l’économie du cacao en Côte d’Ivoire, produit né au Mexique dont la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial.
Le service de communication
