La Côte d’Ivoire est passée de la 115e place à la 107e sur 168 pays à l’échelle mondiale, dans l’Indice de perception de la corruption 2015 de l’ONG allemande Transparency International, selon un rapport rendu public mercredi.
Ce 21e rapport annuel de l'ONG Transparency International a été établi après une étude menée dans 168 pays contre 175 l’année précédente, et porte notamment sur le niveau de transparence dans la gestion des affaires publiques.
Selon les données du document, plus de deux tiers des 168 pays ont eu un score inférieur à 50, indiquant "un secteur public perçu comme extrêmement corrompu".
Classé 1er du classement 2015 de Transparency, le Danemark conserve le même rang avec une note de 91 sur 100. Le pays présente un secteur public jugé comme "extrêmement intègre".
Il est suivi de la Finlande (2e). La France, a quant à elle gagné trois points, passant du 26e rang au 23e, tandis que la Chine, classée 100e dans le précédent rapport, occupe la 83e place.
Les Etats-Unis ont fait un léger bond, passant de la 17e place à la 16e, le Japon, garde la 18e place. La Corée du Nord et la Somalie, classés 167e ex-aequo, terminent au dernier rang. Le Botswana, 1er africain, se positionne au 28e rang mondial contre 31e précédemment.
Au sein de l’espace de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), le Sénégal 61e mondial, conserve la première place, suivi du Bénin (83e mondial), Burkina Faso (76e mondial), Mali (95e mondial), Niger (99e mondial), Côte d’Ivoire et Togo (107emondial) et la Guinée-Bissau (158e mondial).
Pour établir ce rapport de perception sur la corruption, Transparency a eu recours à des institutions et organisations telles que la Banque mondiale (BM), la Banque africaine de développement (BAD), la Fondation allemande Bertelsmann.
La Côte d’Ivoire est passée de la 136e place en 2013 à la 115e sur 175 pays, avant d’occuper le 107e rang dans l’Indice de perception de la corruption 2015, réalisant un bond de huit points par rapport à l’année précédente.
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Ce 21e rapport annuel de l'ONG Transparency International a été établi après une étude menée dans 168 pays contre 175 l’année précédente, et porte notamment sur le niveau de transparence dans la gestion des affaires publiques.
Selon les données du document, plus de deux tiers des 168 pays ont eu un score inférieur à 50, indiquant "un secteur public perçu comme extrêmement corrompu".
Classé 1er du classement 2015 de Transparency, le Danemark conserve le même rang avec une note de 91 sur 100. Le pays présente un secteur public jugé comme "extrêmement intègre".
Il est suivi de la Finlande (2e). La France, a quant à elle gagné trois points, passant du 26e rang au 23e, tandis que la Chine, classée 100e dans le précédent rapport, occupe la 83e place.
Les Etats-Unis ont fait un léger bond, passant de la 17e place à la 16e, le Japon, garde la 18e place. La Corée du Nord et la Somalie, classés 167e ex-aequo, terminent au dernier rang. Le Botswana, 1er africain, se positionne au 28e rang mondial contre 31e précédemment.
Au sein de l’espace de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), le Sénégal 61e mondial, conserve la première place, suivi du Bénin (83e mondial), Burkina Faso (76e mondial), Mali (95e mondial), Niger (99e mondial), Côte d’Ivoire et Togo (107emondial) et la Guinée-Bissau (158e mondial).
Pour établir ce rapport de perception sur la corruption, Transparency a eu recours à des institutions et organisations telles que la Banque mondiale (BM), la Banque africaine de développement (BAD), la Fondation allemande Bertelsmann.
La Côte d’Ivoire est passée de la 136e place en 2013 à la 115e sur 175 pays, avant d’occuper le 107e rang dans l’Indice de perception de la corruption 2015, réalisant un bond de huit points par rapport à l’année précédente.
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