Le juge italien Cuno Tarfusser, en charge du procès de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de l’ex-leader des “Jeunes Patriotes’’ Charles Blé Goudé, a assuré jeudi qu’il “évaluera toutes les preuves’’ du procureur et de la Défense “en toute impartialité et en toute conscience’’.
"Je peux assurer tout le monde que la chambre évaluera toutes les preuves que les parties soumettons à la chambre en toute impartialité et en toute conscience", a dit M. Tarfusser, à l’ouverture du procès en présence des deux prévenus et de leurs avocats.
“Je ne permettrai pas l’instrumentalisation aux fins politiques du procès’’, a-t-il poursuivi, expliquant que le procès n’était celui de la Côte d’Ivoire ou de tous les Ivoiriens, mais uniquement des deux prévenus.
Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, accusés de “crimes contre l’humanité’’, comparaissent pour leur implication présumée dans les violences post-électorales de novembre 2010-avril 2011 qui ont officiellement fait près de 3.000 morts en Côte d’Ivoire.
SKO, avec FT
"Je peux assurer tout le monde que la chambre évaluera toutes les preuves que les parties soumettons à la chambre en toute impartialité et en toute conscience", a dit M. Tarfusser, à l’ouverture du procès en présence des deux prévenus et de leurs avocats.
“Je ne permettrai pas l’instrumentalisation aux fins politiques du procès’’, a-t-il poursuivi, expliquant que le procès n’était celui de la Côte d’Ivoire ou de tous les Ivoiriens, mais uniquement des deux prévenus.
Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, accusés de “crimes contre l’humanité’’, comparaissent pour leur implication présumée dans les violences post-électorales de novembre 2010-avril 2011 qui ont officiellement fait près de 3.000 morts en Côte d’Ivoire.
SKO, avec FT