Abidjan (Côte d’Ivoire) - Des membres du Congrès panafricains des jeunes patriotes (COJEP), mouvement créé par Charles Blé Goudé dont le procès se tient à la Cour pénale internationale (CPI) demandent « un non-lieu » à l’endroit de leur leader et de l’ex- président Laurent Gbagbo.
« Nous attendons de la CPI de prononcer un non-lieu, en libérant le Président Laurent Gbagbo et Charles Ble Goudé. Ils sont innocents. »,soutient Roslyn Bly, le Président du COJEP dans une interview accordée à l’Agence de Presse Africaine (APA).
« Nous souhaitions que la CPI se réhabilite en rendant justice à ceux qui sont les vraies victimes. Les bourreaux sont en liberté en Côte d’Ivoire. La CPI est pour nous une Cour partiale, partisane, politisée aux ordres de l’occident pour brimer les leaders africains qui sont jugés indociles, panafricanistes et révolutionnaires», explique M. Bly qui suit avec ses compagnons tout le procès dans leur quartier général situé à Yopougon (Ouest d’Abidjan), une commune considérée comme un bastion du Front populaire ivoirien (FPI).
La libération de Laurent Gbagbo et de son ex- ministre de la jeunesse peut apporter un plus à la réconciliation nationale à en croire Roslyn Bly .« Toute la Côte d’Ivoire retient son souffle .Nous pensons que la libération de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé va booster la réconciliation qui est en panne depuis 2011 », ajoute-.t-il.
Le procès conjoint de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo et de l’ex-leader des jeunes patriotes Charles Blé Goudé se déroule depuis, jeudi, à la Haye au Pays-Bas devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité à la suite de la crise postélectorale de 2010-2011 qui a fait officiellement 3000 morts. La parole sera, donnée, mardi, à la défense de Charles Blé Goudé.
SY/ls
« Nous attendons de la CPI de prononcer un non-lieu, en libérant le Président Laurent Gbagbo et Charles Ble Goudé. Ils sont innocents. »,soutient Roslyn Bly, le Président du COJEP dans une interview accordée à l’Agence de Presse Africaine (APA).
« Nous souhaitions que la CPI se réhabilite en rendant justice à ceux qui sont les vraies victimes. Les bourreaux sont en liberté en Côte d’Ivoire. La CPI est pour nous une Cour partiale, partisane, politisée aux ordres de l’occident pour brimer les leaders africains qui sont jugés indociles, panafricanistes et révolutionnaires», explique M. Bly qui suit avec ses compagnons tout le procès dans leur quartier général situé à Yopougon (Ouest d’Abidjan), une commune considérée comme un bastion du Front populaire ivoirien (FPI).
La libération de Laurent Gbagbo et de son ex- ministre de la jeunesse peut apporter un plus à la réconciliation nationale à en croire Roslyn Bly .« Toute la Côte d’Ivoire retient son souffle .Nous pensons que la libération de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé va booster la réconciliation qui est en panne depuis 2011 », ajoute-.t-il.
Le procès conjoint de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo et de l’ex-leader des jeunes patriotes Charles Blé Goudé se déroule depuis, jeudi, à la Haye au Pays-Bas devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité à la suite de la crise postélectorale de 2010-2011 qui a fait officiellement 3000 morts. La parole sera, donnée, mardi, à la défense de Charles Blé Goudé.
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